Discussion:
La gauche grecque
(trop ancien pour répondre)
zw
2012-05-11 08:19:00 UTC
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La gauche grecque veut l'euro mais pas l'austérité. Dixit les leaders
de gauche !!! ha ha ha ha.

On croirait des enfants.

La gauche grecque propose des fonctionnaires, des lois qui
déresponsabilisent et des dépenses publiques.

Et ils veulent absolument conserver l'euro.

Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
unknown
2012-05-11 08:31:56 UTC
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Post by zw
La gauche grecque veut l'euro mais pas l'austérité. Dixit les leaders
de gauche !!! ha ha ha ha.
On croirait des enfants.
La gauche grecque propose des fonctionnaires, des lois qui
déresponsabilisent et des dépenses publiques.
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort mais
en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion de la
dette, puis récession dans les pays du Sud. Si les Allemands veulent
garder leur ligne politique, il faut qu'ils en payent le prix, il faut
qu'ils financent à perte les pays en difficulté. Quand en France un
département est déficitaire, personne ne propose de couper ses dépenses
publiques, de ne plus financer l'école, les allocations diverses, les
retraites... Donne moi une raison, une seule pour condamner la Grèce
membre de l'union européenne à subir de telles horreurs.
Tarasz
2012-05-11 09:06:31 UTC
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Donne moi une raison, une seule pour condamner la Grèce
membre de l'union européenne à subir de telles horreurs.
Il n'y a aucune raison. C'est un pur acte d'intimidation des autres
peuples européens. L'étape suivant c'est la dictature militaire imposée
par Baroso, Van Rompuy et Juncker.
--
Copelovici et Nanard Levy dégagez !
Dobb
2012-05-11 09:29:12 UTC
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Post by unknown
Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort mais
en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion de la
dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.

Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?

Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?

Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?

Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?

Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...

Dobb
unknown
2012-05-11 10:04:39 UTC
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Post by Dobb
Post by unknown
Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort
mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion
de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
Alabenne
2012-05-11 10:55:55 UTC
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Post by unknown
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
t'es pas obligé de jouer avec les traders.
C'est comme au foot, il n'y a de gagnant que s'il y a un perdant, et si
tu joues pas, tu ne peux pas perdre.
Quant aux infirmières, il est préférable de ne pas en avoir besoin,
sinon tu risques de crever de soif, même aux urgences, avec un col du
fémur cassé, comme je t'ai raconté par ailleurs.

Et je te continue mon histoire, je finis par passer sur la table
d'opération, et quand c'est fini, on me pousse dans le couloir sur un
brancard. J'étais là sur mon brancard depuis un quart d'heure au moins,
à attendre que quelqu'un veuille bien venir me chercher, quand arrive
l'anesthésiste qui me reconnait :
-mais qu'est-que vous foutez là ? il me fait.
-ben, j'attends que les brancardiers viennent s'occuper de moi.
-boh, à cette heure-là, vous risquez d'attendre longtemps, ils sont au
bistrot pour l'apéro. Allez, je vais vous pousser jusqu'à votre chambre.

Heureusement que je suis tombé sur un anesthésiste pas fier, qui
acceptait de faire le brancardier, en dehors de son service,
bénévolement, sinon j'y serais encore dans le couloir, à la sortie de la
salle d'op.

Je précise que tout ça, ça s'est passé, en France, dans un centre
hospitalier universitaire français. Pas au fin fond de l'Afrique.

Ah dernier détail, le brancard avait une roue qui couinait horriblement,
je m'étais promis de revenir à l'hosto avec ma burette d'huile pour y
mettre une goutte d'huile, mais pris par d'autres occupations, je ne
l'ai pas fait, mais j'aurais dû.
unknown
2012-05-11 11:02:42 UTC
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Post by Alabenne
Post by unknown
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
t'es pas obligé de jouer avec les traders.
L'économie a besoin d'emprunter aux banques pour fonctionner, celles là
même qui prêtent à des taux usuraires l'argent qu'elles empruntent à la
banque centrale de ces mêmes états.
Alabenne
2012-05-11 11:35:42 UTC
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Post by unknown
L'économie a besoin d'emprunter aux banques pour fonctionner, celles là
même qui prêtent à des taux usuraires l'argent qu'elles empruntent à la
banque centrale de ces mêmes états.
oui, et la solidité de la banque centrale est garantie par les états.
T'as pas l'impression qu'il y a une circularité du genre, "je te tiens,
tu me tiens par la barbichette", quelque part ?
unknown
2012-05-11 11:38:10 UTC
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Post by Alabenne
Post by unknown
L'économie a besoin d'emprunter aux banques pour fonctionner, celles là
même qui prêtent à des taux usuraires l'argent qu'elles empruntent à la
banque centrale de ces mêmes états.
oui, et la solidité de la banque centrale est garantie par les états.
T'as pas l'impression qu'il y a une circularité du genre, "je te tiens,
tu me tiens par la barbichette", quelque part ?
Oui et tout autour de la circularité y a surtout des parasites de la
finance agrippés comme des tiques à pomper le sang des peuples.
Alabenne
2012-05-11 14:57:51 UTC
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Post by Alabenne
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L'économie a besoin d'emprunter aux banques pour fonctionner, celles là
même qui prêtent à des taux usuraires l'argent qu'elles empruntent à la
banque centrale de ces mêmes états.
oui, et la solidité de la banque centrale est garantie par les états.
T'as pas l'impression qu'il y a une circularité du genre, "je te tiens,
tu me tiens par la barbichette", quelque part ?
Oui et tout autour de la circularité y a surtout des parasites de la
finance agrippés comme des tiques à pomper le sang des peuples.
je suis bien d'accord avec toi, le monde a été mal créé, plein de
tiques, de moustiques, d'araignées velues, de serpents venimeux, et de
bêtes sauvages, par un créateur incompétent, ou sadique, ou incompétent
et sadique (au choix).
Sans compter les microbes et les virus.


suivi sur fr.soc.religion
JCL
2012-05-11 17:45:55 UTC
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Post by Alabenne
t'es pas obligé de jouer avec les traders.
Suffit de ne pas avoir de compte en banque. Tu n'as pas de compte en
banque, toi?
--
Jean-Claude
La photo numérique pour débutants et futur débutants
http://jcl.new.fr/
Alabenne
2012-05-11 18:31:53 UTC
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Post by JCL
Post by Alabenne
t'es pas obligé de jouer avec les traders.
Suffit de ne pas avoir de compte en banque. Tu n'as pas de compte en
banque, toi?
j'en ai même deux,

Un à la poste, qui me coûte 0.85 euro par trimestre, et un autre chez
fortunéo, qui ne me coute rien, j'ai même une carte mastercard gratuite.
Je peux te parrainer si tu veux, ça me rapportera 100 euros, mais je ne
veux pas trop faire de concurrence à notre pote Zetrader.
( zetrader.fr )
pgreenfinch
2012-05-11 16:17:30 UTC
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Post by Dobb
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Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort
mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion
de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
Passer des intérêts aux traders, ça c'est du raccourci.
Vous préparez une thèse de finance sur une nappe en papier en fin de
repas chez Jojo au rendez vous des ambulanciers ?
Vous êtes crème caramel ou île flottante ?
unknown
2012-05-11 16:26:12 UTC
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Post by pgreenfinch
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Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort
mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion
de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
Passer des intérêts aux traders, ça c'est du raccourci.
Vous préparez une thèse de finance sur une nappe en papier en fin de
repas chez Jojo au rendez vous des ambulanciers ?
Vous êtes crème caramel ou île flottante ?
Dans ce cas précis le parasite qui s'enrichit sur les intérêts des
dettes souveraines n'est pas le trader mais le banquier, je te remercie
de m'avoir corrigé.
pgreenfinch
2012-05-11 17:05:30 UTC
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Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort
mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion
de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
Passer des intérêts aux traders, ça c'est du raccourci.
Vous préparez une thèse de finance sur une nappe en papier en fin de
repas chez Jojo au rendez vous des ambulanciers ?
Vous êtes crème caramel ou île flottante ?
Dans ce cas précis le parasite qui s'enrichit sur les intérêts des
dettes souveraines n'est pas le trader mais le banquier, je te remercie
de m'avoir corrigé.
Le banquier, l'assureur, le fonds de placement n'auraient pas par
ailleurs des clients qui reçoivent des intérêts ?
L'argent que prêtent ces institutions (même quand, dans le cas des
banques ils en créent par transformation d'engagements économiques)
appartient à elles ou à ceux-ci ?

Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
unknown
2012-05-11 17:53:58 UTC
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Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort
mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion
de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
Passer des intérêts aux traders, ça c'est du raccourci.
Vous préparez une thèse de finance sur une nappe en papier en fin de
repas chez Jojo au rendez vous des ambulanciers ?
Vous êtes crème caramel ou île flottante ?
Dans ce cas précis le parasite qui s'enrichit sur les intérêts des
dettes souveraines n'est pas le trader mais le banquier, je te remercie
de m'avoir corrigé.
Le banquier, l'assureur, le fonds de placement n'auraient pas par
ailleurs des clients qui reçoivent des intérêts ?
Faut bien arroser un peu les complices de ce système histoire de lui
donner une apparence de légitimité. Faut dire que l'escroquerie est
sacrément bien rodée.
Post by pgreenfinch
L'argent que prêtent ces institutions (même quand, dans le cas des
banques ils en créent par transformation d'engagements économiques)
appartient à elles ou à ceux-ci ?
Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contrepartie elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
pgreenfinch
2012-05-11 20:38:49 UTC
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Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro fort
mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage, explosion
de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs, quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse. Aucun trader qui s'enrichit
de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de la valeur
ajoutée d'une infirmière en europe.
Passer des intérêts aux traders, ça c'est du raccourci.
Vous préparez une thèse de finance sur une nappe en papier en fin de
repas chez Jojo au rendez vous des ambulanciers ?
Vous êtes crème caramel ou île flottante ?
Dans ce cas précis le parasite qui s'enrichit sur les intérêts des
dettes souveraines n'est pas le trader mais le banquier, je te remercie
de m'avoir corrigé.
Le banquier, l'assureur, le fonds de placement n'auraient pas par
ailleurs des clients qui reçoivent des intérêts ?
Faut bien arroser un peu les complices de ce système histoire de lui
donner une apparence de légitimité. Faut dire que l'escroquerie est
sacrément bien rodée.
Post by pgreenfinch
L'argent que prêtent ces institutions (même quand, dans le cas des
banques ils en créent par transformation d'engagements économiques)
appartient à elles ou à ceux-ci ?
Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contrepartie elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
unknown
2012-05-11 21:16:10 UTC
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Post by pgreenfinch
Post by unknown
Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
pgreenfinch
2012-05-12 07:50:04 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu devrais arrêter de t'informer à partir de BD, Marvel Comics c'est
super, mais avec cela ta thèse aura du mal à progresser ;-))
Alors aussi que tu attribues les dégraissages de fonction publique aux
marchés et non aux abus corporatistes de l'appareil de l'Etat jamais
assez gros et envahissant à ton goût ?
Le fonds je crois que tu es en train de l’atteindre, je veux bien te le
concéder.
Au fait toujours rien non plus pour défendre sérieusement ta monnaie de
verroterie dont tu proposes d'arroser les bons sujets sous la coupe de
l'Etat, regroupés uniformément comme dans une boîte de petits pois sous
l'étiquette "peuple" que tu affectionnes ?
Petit problème pour ce genre de régimes aptérisés, la résistante
commence pratiquement toujours par des individus. Un petit pois passe
au travers et La boîte peut devenir celle de pandore ;-)
unknown
2012-05-12 09:26:16 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Post by pgreenfinch
Tu devrais arrêter de t'informer à partir de BD, Marvel Comics c'est
super, mais avec cela ta thèse aura du mal à progresser ;-))
Alors aussi que tu attribues les dégraissages de fonction publique aux
marchés et non aux abus corporatistes de l'appareil de l'Etat jamais
assez gros et envahissant à ton goût ?
C'est vrai qu'on est envahi de professeurs dans les écoles, d'infirmiers
dans les hôpitaux, de juristes dans les tribunaux, de gardiens dans les
prisons, d'agents municipaux dans les campagnes, en France c'est
l'abondance, trop de crèches, trop de maison de repos... par contre on
manque cruellement d'experts pour nous partager ces brillantes analyses.
pgreenfinch
2012-05-12 10:33:06 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
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Tu devrais arrêter de t'informer à partir de BD, Marvel Comics c'est
super, mais avec cela ta thèse aura du mal à progresser ;-))
Alors aussi que tu attribues les dégraissages de fonction publique aux
marchés et non aux abus corporatistes de l'appareil de l'Etat jamais
assez gros et envahissant à ton goût ?
C'est vrai qu'on est envahi de professeurs dans les écoles, d'infirmiers
dans les hôpitaux, de juristes dans les tribunaux, de gardiens dans les
prisons, d'agents municipaux dans les campagnes, en France c'est
l'abondance, trop de crèches, trop de maison de repos... par contre on
manque cruellement d'experts pour nous partager ces brillantes analyses.
Oh, certains pays semblent plus efficaces dans ces domaines sans
étrangler leurs contribuables et emprunter comme des malades. Mais que
peut-on contre une tradition jacobine, interventionniste,
collectivisante, uniformisatrice et corporatiste ? Sauf le jour où les
fins de mois de ce personnel ne peuvent plus être honorée, comme en
Grèce. J'imagine que Maman l'Etat leur dira que c'est à cause de la
mêchancheté du monde.
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2012-05-12 11:30:59 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
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Tu devrais arrêter de t'informer à partir de BD, Marvel Comics c'est
super, mais avec cela ta thèse aura du mal à progresser ;-))
Alors aussi que tu attribues les dégraissages de fonction publique aux
marchés et non aux abus corporatistes de l'appareil de l'Etat jamais
assez gros et envahissant à ton goût ?
C'est vrai qu'on est envahi de professeurs dans les écoles, d'infirmiers
dans les hôpitaux, de juristes dans les tribunaux, de gardiens dans les
prisons, d'agents municipaux dans les campagnes, en France c'est
l'abondance, trop de crèches, trop de maison de repos... par contre on
manque cruellement d'experts pour nous partager ces brillantes analyses.
Oh, certains pays semblent plus efficaces dans ces domaines sans
étrangler leurs contribuables et emprunter comme des malades. Mais que
peut-on contre une tradition jacobine, interventionniste,
collectivisante, uniformisatrice et corporatiste ? Sauf le jour où les
fins de mois de ce personnel ne peuvent plus être honorée, comme en
Grèce. J'imagine que Maman l'Etat leur dira que c'est à cause de la
mêchancheté du monde.
pgreenfinch
2012-05-12 12:31:02 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?

D'ailleurs les taux pour les épargnants particuliers sont du même ordre
que ceux des institutions financières.
Par ailleurs le taux de l'assurance vie correspond de près à celui des
obligations souveraines en euros.
Ben oui, puisque c'est l'ingrédient principal de ces contrats.
Au fait, pourquoi ces contrats sont-ils privilégiée fiscalement ?
Sinon du fait que c'est une façon indirecte pour le Trésor de placer sa
marchandise ?

Je n'insisterais pas sur les aspects internationaux, sinon que les
obligations souveraines des divers pays sont en concurrence pour
attirer le grand pourvoyeur mondial de capitaux : les banques centrales
des pays émergents qui doivent placer leurs réserves de change.
unknown
2012-05-12 13:41:02 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles savent que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la réglementation des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.

La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Post by pgreenfinch
D'ailleurs les taux pour les épargnants particuliers sont du même ordre
que ceux des institutions financières.
Par ailleurs le taux de l'assurance vie correspond de près à celui des
obligations souveraines en euros.
Ben oui, puisque c'est l'ingrédient principal de ces contrats.
Au fait, pourquoi ces contrats sont-ils privilégiée fiscalement ?
Sinon du fait que c'est une façon indirecte pour le Trésor de placer sa
marchandise ?
Je n'insisterais pas sur les aspects internationaux, sinon que les
obligations souveraines des divers pays sont en concurrence pour
attirer le grand pourvoyeur mondial de capitaux : les banques centrales
des pays émergents qui doivent placer leurs réserves de change.
pgreenfinch
2012-05-12 16:25:04 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
(*) une bulle que j'avais déjà dénoncé il y a plus de 10 ans, et à ce
moment les "keynésiens" m'avaient traîné dans la boue.

La singularité est celle des oblig du Trésor US avec la croyance, à mon
avis mal placée, en la supériorité politique et économique ricaine et
aussi à la grande liquidité du marché de ses titres qui donne
l'impression qu'on peut en sortir à tout moment sans perdre de plumes.
Peut être aussi le fait que les ricains ont su détourner l'attention de
leurs propres turpitudes en diabolisant l’Europe et l'euro (bien
entendu je reconnais de mon côté le défaut d'une Europe qui ne s'est
pas fédéralisée par myopie des états-nations et de leurs politicards
sans envergure, accrochés à leurs fictives "souverainetés". Encore un
truc que j'ai toujours largement dénoncé.

Entre parenthèses, certes je sais que la technique ne vous intéresse
pas mais je pense aux lecteurs, vous utilisez la dénomination "bons",
alors qu'on appelle bons des titres à court et moyen terme et la dette
souveraine est surtout formée d'obligations (titres à long terme). Et en
général les titres courts ont des taux inférieurs aux titres longs
(sauf cas, généralement inquiétant, d'inversion de la courbe des taux).
Les avances à trois ans de la BCE se situent dans la partie courte /
moyenne de la courbe.
|PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
2012-05-12 17:16:55 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont fait des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que l'Etat paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
(*) une bulle que j'avais déjà dénoncé il y a plus de 10 ans, et à ce
moment les "keynésiens" m'avaient traîné dans la boue.
c'était bon pour soigner vos rhumatismes !

wimps.
Post by pgreenfinch
La singularité est celle des oblig du Trésor US avec la croyance, à mon
avis mal placée, en la supériorité politique et économique ricaine et
aussi à la grande liquidité du marché de ses titres qui donne
l'impression qu'on peut en sortir à tout moment sans perdre de plumes.
Peut être aussi le fait que les ricains ont su détourner l'attention de
leurs propres turpitudes en diabolisant l’Europe et l'euro (bien
entendu je reconnais de mon côté le défaut d'une Europe qui ne s'est
pas fédéralisée par myopie des états-nations et de leurs politicards
sans envergure, accrochés à leurs fictives "souverainetés". Encore un
truc que j'ai toujours largement dénoncé.
Entre parenthèses, certes je sais que la technique ne vous intéresse
pas mais je pense aux lecteurs, vous utilisez la dénomination "bons",
alors qu'on appelle bons des titres à court et moyen terme et la dette
souveraine est surtout formée d'obligations (titres à long terme). Et
en général les titres courts ont des taux inférieurs aux titres longs
(sauf cas, généralement inquiétant, d'inversion de la courbe des taux).
Les avances à trois ans de la BCE se situent dans la partie courte /
moyenne de la courbe.
pgreenfinch
2012-05-12 17:43:03 UTC
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Post by |PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
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Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
(*) une bulle que j'avais déjà dénoncé il y a plus de 10 ans, et à ce
moment les "keynésiens" m'avaient traîné dans la boue.
c'était bon pour soigner vos rhumatismes !
wimps.
Pas de pub pour la thalassothérapie !
Au fait un créneau que devrait exploiter l'archipel grec. Quelques
capitaux allemands et masseuses aux biceps entrainés à porter dix
chopes bavaroises d'un litre, et hop ;-)
Post by |PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
Post by pgreenfinch
La singularité est celle des oblig du Trésor US avec la croyance, à mon
avis mal placée, en la supériorité politique et économique ricaine et
aussi à la grande liquidité du marché de ses titres qui donne
l'impression qu'on peut en sortir à tout moment sans perdre de plumes.
Peut être aussi le fait que les ricains ont su détourner l'attention de
leurs propres turpitudes en diabolisant l’Europe et l'euro (bien
entendu je reconnais de mon côté le défaut d'une Europe qui ne s'est
pas fédéralisée par myopie des états-nations et de leurs politicards
sans envergure, accrochés à leurs fictives "souverainetés". Encore un
truc que j'ai toujours largement dénoncé.
Entre parenthèses, certes je sais que la technique ne vous intéresse
pas mais je pense aux lecteurs, vous utilisez la dénomination "bons",
alors qu'on appelle bons des titres à court et moyen terme et la dette
souveraine est surtout formée d'obligations (titres à long terme). Et
en général les titres courts ont des taux inférieurs aux titres longs
(sauf cas, généralement inquiétant, d'inversion de la courbe des taux).
Les avances à trois ans de la BCE se situent dans la partie courte /
moyenne de la courbe.
|PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
2012-05-12 18:04:40 UTC
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Post by pgreenfinch
Post by |PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
Post by pgreenfinch
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
(*) une bulle que j'avais déjà dénoncé il y a plus de 10 ans, et à ce
moment les "keynésiens" m'avaient traîné dans la boue.
c'était bon pour soigner vos rhumatismes !
Pas de pub pour la thalassothérapie !
Au fait un créneau que devrait exploiter l'archipel grec. Quelques
capitaux allemands et masseuses aux biceps entrainés à porter dix
chopes bavaroises d'un litre, et hop ;-)
voilà une idée qu'elle est bonne !
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Post by |PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
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La singularité est celle des oblig du Trésor US avec la croyance, à mon
avis mal placée, en la supériorité politique et économique ricaine et
aussi à la grande liquidité du marché de ses titres qui donne
l'impression qu'on peut en sortir à tout moment sans perdre de plumes.
Peut être aussi le fait que les ricains ont su détourner l'attention de
leurs propres turpitudes en diabolisant l’Europe et l'euro (bien
entendu je reconnais de mon côté le défaut d'une Europe qui ne s'est
pas fédéralisée par myopie des états-nations et de leurs politicards
sans envergure, accrochés à leurs fictives "souverainetés". Encore un
truc que j'ai toujours largement dénoncé.
Entre parenthèses, certes je sais que la technique ne vous intéresse
pas mais je pense aux lecteurs, vous utilisez la dénomination "bons",
alors qu'on appelle bons des titres à court et moyen terme et la dette
souveraine est surtout formée d'obligations (titres à long terme). Et
en général les titres courts ont des taux inférieurs aux titres longs
(sauf cas, généralement inquiétant, d'inversion de la courbe des taux).
Les avances à trois ans de la BCE se situent dans la partie courte /
moyenne de la courbe.
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2012-05-12 17:20:05 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont
fait
des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en
creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au
remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que
l'Etat
paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
Le risque de défaut il provient du gonflement de la dette qui se nourrit
des intérêts. Si la Grèce avait emprunté directement à la banque central
à un taux nul, la dette n'aurait pas gonflé, et elle ne serait pas en
défaut. Le problème il vient des taux d'intérêts qui donnent une
évolution exponentielle à la dette. Supprimons les intérêts et nous
pourrons payer la dette par la fiscalité, mais je t'entends déjà me
rétorquer que si les intérêts disparaissent plus personne ne voudra
prêter. C'est vrai, c'est pourquoi les États doivent emprunter
directement à la banque centrale.
Post by pgreenfinch
La singularité est celle des oblig du Trésor US avec la croyance, à mon
avis mal placée, en la supériorité politique et économique ricaine et
aussi à la grande liquidité du marché de ses titres qui donne
l'impression qu'on peut en sortir à tout moment sans perdre de plumes.
Peut être aussi le fait que les ricains ont su détourner l'attention de
leurs propres turpitudes en diabolisant l’Europe et l'euro (bien
entendu je reconnais de mon côté le défaut d'une Europe qui ne s'est
pas fédéralisée par myopie des états-nations et de leurs politicards
sans envergure, accrochés à leurs fictives "souverainetés". Encore un
truc que j'ai toujours largement dénoncé.
Entre parenthèses, certes je sais que la technique ne vous intéresse
pas mais je pense aux lecteurs, vous utilisez la dénomination "bons",
alors qu'on appelle bons des titres à court et moyen terme et la dette
souveraine est surtout formée d'obligations (titres à long terme). Et en
général les titres courts ont des taux inférieurs aux titres longs
(sauf cas, généralement inquiétant, d'inversion de la courbe des taux).
Les avances à trois ans de la BCE se situent dans la partie courte /
moyenne de la courbe.
|PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
2012-05-12 17:39:05 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de risques qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés
financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout ceci
est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont
fait
des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en
creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au
remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que
l'Etat
paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
Le risque de défaut il provient du gonflement de la dette qui se
nourrit des intérêts. Si la Grèce avait emprunté directement à la
banque central à un taux nul, la dette n'aurait pas gonflé, et elle ne
serait pas en défaut. Le problème il vient des taux d'intérêts qui
donnent une évolution exponentielle à la dette. Supprimons les
intérêts et nous pourrons payer la dette par la fiscalité, mais je
t'entends déjà me rétorquer que si les intérêts disparaissent plus
personne ne voudra prêter. C'est vrai, c'est pourquoi les États
doivent emprunter directement à la banque centrale.
vous n'avez toujours rien compris Julien Arlandis; c'est un état
permanent chez vous !

ce qu'il faut comprendre, qu'avec ou sans intérêts, la Grèce ne pourra
jamais rembourser sa dette.

wimps, de la PéA.
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La singularité est celle des oblig du Trésor US avec la croyance, à mon
avis mal placée, en la supériorité politique et économique ricaine et
aussi à la grande liquidité du marché de ses titres qui donne
l'impression qu'on peut en sortir à tout moment sans perdre de plumes.
Peut être aussi le fait que les ricains ont su détourner l'attention de
leurs propres turpitudes en diabolisant l’Europe et l'euro (bien
entendu je reconnais de mon côté le défaut d'une Europe qui ne s'est
pas fédéralisée par myopie des états-nations et de leurs politicards
sans envergure, accrochés à leurs fictives "souverainetés". Encore un
truc que j'ai toujours largement dénoncé.
Entre parenthèses, certes je sais que la technique ne vous intéresse
pas mais je pense aux lecteurs, vous utilisez la dénomination "bons",
alors qu'on appelle bons des titres à court et moyen terme et la dette
souveraine est surtout formée d'obligations (titres à long terme). Et en
général les titres courts ont des taux inférieurs aux titres longs
(sauf cas, généralement inquiétant, d'inversion de la courbe des taux).
Les avances à trois ans de la BCE se situent dans la partie courte /
moyenne de la courbe.
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2012-05-12 17:58:20 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de
risques
qui
rend crédible l'engagement économique qui est la contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés
financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout
ceci
est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont
fait
des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en
creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au
remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que
l'Etat
paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en développant des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
Le risque de défaut il provient du gonflement de la dette qui se nourrit
des intérêts. Si la Grèce avait emprunté directement à la banque central
à un taux nul, la dette n'aurait pas gonflé, et elle ne serait pas en
défaut. Le problème il vient des taux d'intérêts qui donnent une
évolution exponentielle à la dette. Supprimons les intérêts et nous
pourrons payer la dette par la fiscalité, mais je t'entends déjà me
rétorquer que si les intérêts disparaissent plus personne ne voudra
prêter. C'est vrai, c'est pourquoi les États doivent emprunter
directement à la banque centrale.
Et c'est reparti sur votre dada de parachutage de sucreries (je suppose
gratos, ou à taux négatif après déduction de l'inflation), mais
addictives, qui se terminent en goût amer.
Le lecteur connait ma position sur cette cavalerie financière, sans
contrepartie économique, alors je ne vais pas tout recommencer.
http://pgreenfinch.pagesperso-orange.fr/recupknol/k87f-monnaie.html
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2012-05-12 18:44:52 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la
banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de
risques
qui
rend crédible l'engagement économique qui est la
contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés
financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de
traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout
ceci
est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont
fait
des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en
creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au
remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe
procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus pour les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que
l'Etat
paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se place par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en
développant
des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
Le risque de défaut il provient du gonflement de la dette qui se nourrit
des intérêts. Si la Grèce avait emprunté directement à la banque central
à un taux nul, la dette n'aurait pas gonflé, et elle ne serait pas en
défaut. Le problème il vient des taux d'intérêts qui donnent une
évolution exponentielle à la dette. Supprimons les intérêts et nous
pourrons payer la dette par la fiscalité, mais je t'entends déjà me
rétorquer que si les intérêts disparaissent plus personne ne voudra
prêter. C'est vrai, c'est pourquoi les États doivent emprunter
directement à la banque centrale.
Et c'est reparti sur votre dada de parachutage de sucreries (je suppose
gratos, ou à taux négatif après déduction de l'inflation), mais
addictives, qui se terminent en goût amer.
Le lecteur connait ma position sur cette cavalerie financière, sans
contrepartie économique, alors je ne vais pas tout recommencer.
http://pgreenfinch.pagesperso-orange.fr/recupknol/k87f-monnaie.html
Qualifier de cavalerie financière la rupture avec un système
fondamentalement pyramidal, il fallait oser! De plus, tu serais bien
incapable de nous démontrer en quoi la banque centrale européenne serait
incapable d'exiger des contreparties financières. Quand les États
emprunte à la BCE c'est l'escalade, mais quand les banques privées le
font pour prêter aux États c'est la vertu?
pgreenfinch
2012-05-12 21:40:19 UTC
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banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de
risques
qui
rend crédible l'engagement économique qui est la
contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés
financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de
traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout
ceci
est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration
pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont
fait
des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
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Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en
otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en
creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au
remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe
procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles
n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie
il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus
pour
les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des
citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que
l'Etat
paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects techniques, ce
faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes
publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se
place
par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu
confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en
développant
des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de termes dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous préférez nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister car les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
Le risque de défaut il provient du gonflement de la dette qui se nourrit
des intérêts. Si la Grèce avait emprunté directement à la banque central
à un taux nul, la dette n'aurait pas gonflé, et elle ne serait pas en
défaut. Le problème il vient des taux d'intérêts qui donnent une
évolution exponentielle à la dette. Supprimons les intérêts et nous
pourrons payer la dette par la fiscalité, mais je t'entends déjà me
rétorquer que si les intérêts disparaissent plus personne ne voudra
prêter. C'est vrai, c'est pourquoi les États doivent emprunter
directement à la banque centrale.
Et c'est reparti sur votre dada de parachutage de sucreries (je suppose
gratos, ou à taux négatif après déduction de l'inflation), mais
addictives, qui se terminent en goût amer.
Le lecteur connait ma position sur cette cavalerie financière, sans
contrepartie économique, alors je ne vais pas tout recommencer.
http://pgreenfinch.pagesperso-orange.fr/recupknol/k87f-monnaie.html
Qualifier de cavalerie financière la rupture avec un système
fondamentalement pyramidal, il fallait oser! De plus, tu serais bien
incapable de nous démontrer en quoi la banque centrale européenne serait
incapable d'exiger des contreparties financières. Quand les États
emprunte à la BCE c'est l'escalade, mais quand les banques privées le
font pour prêter aux États c'est la vertu?*
C'est l'évaluation du risque par les banques qui choisissent à qui
elles prêtent, pour quel objet et à quelles conditions. Une Banque
allemande choisit si elle prête à la France, à l'Espagne, à son propre
gouvernement ou à des entreprises pour leurs activités. Pas comme si
chaque Etat européen donnait l'ordre à la BCE de lui fabriquer de
l'argent pour couvrir ses trous. D'ailleurs j'ai parlé de contreparties
économiques des prêts, pas de contreparties financières, s'agit pas
d'hypothéquer le Louvre ou l'Acropole pour régler des fins de mois, ce
qu'il faudra à nouveau faire le mois suivant, ça c'est pyramidal. Mais
comme dit, je ne vais pas tout recommencer.
unknown
2012-05-13 08:14:33 UTC
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Un autre aspect de l'escroquerie consiste à faire croire que la
banque
qui endette les États fournit une prestation d'analyse de
risques
qui
rend crédible l'engagement économique qui est la
contrepartie de
l'argent créé. Pipeau !
Les emprunts sont contractés en temps réel sur les marchés
financiers
depuis une salle du ministère des finances par une batterie de
traders
qui suivent l'évolution des taux derrière leurs écrans. Tout
ceci
est
tellement ahurissant qu'on se demande comment une aberration
pareille
puisse trouver des défenseurs chez des gens qui parait-il ont
fait
des
études d'économie, suivez celui qui va me répondre.
Post by pgreenfinch
Bon évidemment, yaurait le cas de l'Etat qui prendrait en
otage la
banque centrale pour qu'elle lui fabrique de l'argent sans
contrepartie, autrement dit prélevé sans vergogne sur les
richesses du
pays. Déjà le sapeur camembert comblait un trou en en
creusant un
autre
sans doute chez quelqu'un d'autre ;-)
Les banques n'ont pas besoin d'avoir des contreparties elles
savent
que
d'une part les recettes des États seront allouées au
remboursement
de la
dette et que le cas échéant, les libéraux en Europe
procéderont au
dégraissage dans la fonction publique pour garantir le paiement.
D'ailleurs si les banques avaient fait leur travail, elles
n'auraient
pas prêté à la Grèce sans contrepartie, car si contrepartie
il y
avait
la Grèce ne serait pas en défaut.
Bien je vous laisse fantasmer.
Au fait, entendu parler des coefficients bilanciels retenus
pour
les
placements de banque en titres d'Etat, et aussi de la
réglementation
des
réserves obligatoires des assureurs en imposant
l'utilisation ?
Ah l'Etat assure bien son droit de cuissage sur l'argent des
citoyens !
Mais cela ne vous suffit pas, vous voulez beaucoup plus, que
l'Etat
paye
directement ceux-ci avec de la pacotille.
Pirouette, comme tu n'as rien à me répondre sur le fond tu
dévies la
conversation sur la réglementation et ses aspects
techniques, ce
faisant
tu auras bien du mal à convaincre quiconque de la légitimité de ce
système qui vole à la France plus d'un quart de ses recettes
publiques.
Sur le fond ?
Alors que tu n'as même pas compris que la dette du Trésor se
place
par
adjudications, de façon groupée, à une date donnée, ce que tu
confonds
avec sa gestion courante par une salle de marché ? D'ailleurs je vois
que c'est toi qui est sans réponse sur les règles bilancielles.
Tu serais bien inspiré de respecter ton interlocuteur en
développant
des
arguments cohérents en lieu et place d'une juxtaposition de
termes
dans
un discours de langue de bois. A minima, respecte au minimum ceux qui te
lisent.
Si tu ne comprends rien sur les sujets que tu introduis toi-même, sur un
forum d'économie qui plus est, et si en plus tu t'offusques dès qu'on
les creuse un peu au delà des basses approches journalistiques, je ne
peux pas grand chose pour toi. Par contre les lecteurs qui veulent
aller un peu plus loin me verront toujours à leur disposition. Je
crois avoir montré maintes fois tant par messages que par mes écrits
mon souci de contribuer par de vrais apports. Mais si vous
préférez
nous
lire des extraits de Minute ou du Diplo...
Si je résume ta pensée sans la caricaturer ni la déformer, tu nous
expliques que l'emprunt sur les marchés financiers permet d'assurer par
une analyse de risques adéquat la crédibilité de l'engagement
contractuel auquel correspond la contrepartie de la monnaie créée, et
que les intérêts constituent la rémunération correspondant à cette
évaluation.
Ce à quoi je réponds que cette analyse de risque ne peut exister
car
les
prêts correspondant aux besoins en fond de roulement des États sont
contractés de façon groupée, à une date donnée et que la gestion se fait
en temps réel dans une salle de marché. La seule chose qui importe les
prêteurs n'est pas la viabilité du projet pour lequel ils prêtent leur
argent puisque précisément la dette du trésor se fait de façon groupée
comme tu l'as rappelé. La garantie d'être remboursé repose exclusivement
sur la ponction qui est réalisée sur les recettes de l'État. D'un côté,
des particuliers souscrivent à des bons du trésor, des banques prêtent
aux États à des taux usuraires de l'argent qui est emprunté au taux
directeur à la BCE, avec l'assurance de s'enrichir par le seul fait que
l'État lèvera des taxes et des impôts pour honorer les échéances. C'est
cette escroquerie qui est la cause de l'endettement public et rien d'autre.
Heu, elle est où, l'assurance ?
Peux tu nous rappeler ce qui s'est passé sur la dette grecque ?
Pourquoi les taux d'intérêt diffèrent selon le pays émetteur ?
Pourquoi les notations sont différentes ?
N'as tu pas compris qu'un taux d'intérêt (que tu considères usuraire)
comporte d'une part une rémunération du temps mais aussi une
rémunération du risque ?
Il est où le risque pour le prêteur de souscrire à un bon du trésor
sachant que les taxes et les impôts serviront à payer les échéances?
Le risque il vient justement du taux d'intérêt qui donne au mécanisme un
caractère pyramidal qui induit une croissance exponentielle de la dette.
Ce n'est pas le risque qui justifie le taux d'intérêt mais le taux
d'intérêt qui justifie le risque et l'accompagne au fur et à mesure que
l'on se rapproche du fatidique défaut de paiement.
La Grèce, c'est l'histoire d'un bateau qui avait un peu d'eau dans sa
coque, alors on a commencé à faire des trous pour évacuer l'eau et comme
le bateau s'est mis à couler de plus en plus vite on a fait sans cesse
de nouveaux trous. La seule différence avec les autres bateaux qui
l'entourent c'est juste qu'il a été le premier à couler.
Le risque grec est né au niveau de la Grèce, point barre, même si les
prêteurs ont été imprévoyants. Et si les obligations françaises ont un
taux double des obligations allemandes c'est que la France a eu une
politique budgétaire plus risquée que l’Allemagne (c'est peut être là
que je vous rejoint avec votre histoire de bateaux qui prennent l'eau).
La fameuse assurance qu'un pays pourra toujours payer grâce à sa
fiscalité tient de la légende urbaine, l'Histoire l'a largement montré,
et la bulle des dettes souveraines (*) fait que les obligations d'Etat
ne sont plus réputées des placements sans risques (ça en fiche
d'ailleurs en sacré coup à certains modèles financiers nobélisés des
années 50-60, contemporains d'Elvis Presley, qui partaient de cette
hypothèse).
Le risque de défaut il provient du gonflement de la dette qui se nourrit
des intérêts. Si la Grèce avait emprunté directement à la banque central
à un taux nul, la dette n'aurait pas gonflé, et elle ne serait pas en
défaut. Le problème il vient des taux d'intérêts qui donnent une
évolution exponentielle à la dette. Supprimons les intérêts et nous
pourrons payer la dette par la fiscalité, mais je t'entends déjà me
rétorquer que si les intérêts disparaissent plus personne ne voudra
prêter. C'est vrai, c'est pourquoi les États doivent emprunter
directement à la banque centrale.
Et c'est reparti sur votre dada de parachutage de sucreries (je suppose
gratos, ou à taux négatif après déduction de l'inflation), mais
addictives, qui se terminent en goût amer.
Le lecteur connait ma position sur cette cavalerie financière, sans
contrepartie économique, alors je ne vais pas tout recommencer.
http://pgreenfinch.pagesperso-orange.fr/recupknol/k87f-monnaie.html
Qualifier de cavalerie financière la rupture avec un système
fondamentalement pyramidal, il fallait oser! De plus, tu serais bien
incapable de nous démontrer en quoi la banque centrale européenne serait
incapable d'exiger des contreparties financières. Quand les États
emprunte à la BCE c'est l'escalade, mais quand les banques privées le
font pour prêter aux États c'est la vertu?*
C'est l'évaluation du risque par les banques qui choisissent à qui
elles prêtent, pour quel objet et à quelles conditions. Une Banque
allemande choisit si elle prête à la France, à l'Espagne, à son propre
gouvernement ou à des entreprises pour leurs activités. Pas comme si
chaque Etat européen donnait l'ordre à la BCE de lui fabriquer de
l'argent pour couvrir ses trous. D'ailleurs j'ai parlé de contreparties
économiques des prêts, pas de contreparties financières, s'agit pas
d'hypothéquer le Louvre ou l'Acropole pour régler des fins de mois, ce
qu'il faudra à nouveau faire le mois suivant, ça c'est pyramidal. Mais
comme dit, je ne vais pas tout recommencer.
La contrepartie économique c'est la garantie du créancier d'être payé en
évaluant la crédibilité du projet, or la contrepartie économique n'est
pas nécessaire dès lors qu'un tiers se porte caution. Quand une banque
prête à un État elle n'a pas besoin de contrepartie économique
puisqu'elle sait que c'est la population qui se porte caution par les
taxes et les impôts qui vont lui être prélevée pour honorer les
obligations. Deuxièmement la contrepartie économique ne peut pas être
évaluée puisque les dettes se font de façon groupées, et de toute façon
l'État n'est pas une société commerciale dont on peut facilement évaluer
le bilan. C'est quoi la contrepartie économique d'une crèche, d'une
école, d'un hôpital ou d'une maison de repos?
pgreenfinch
2012-05-13 09:23:04 UTC
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Le 13/05/2012 10:14, Julien Arlandis a écrit :
.
Post by unknown
La contrepartie économique c'est la garantie du créancier d'être payé en
évaluant la crédibilité du projet, or la contrepartie économique n'est
pas nécessaire dès lors qu'un tiers se porte caution. Quand une banque
prête à un État elle n'a pas besoin de contrepartie économique
puisqu'elle sait que c'est la population qui se porte caution par les
taxes et les impôts qui vont lui être prélevée pour honorer les
obligations. Deuxièmement la contrepartie économique ne peut pas être
évaluée puisque les dettes se font de façon groupées, et de toute façon
l'État n'est pas une société commerciale dont on peut facilement évaluer
le bilan. C'est quoi la contrepartie économique d'une crèche, d'une
école, d'un hôpital ou d'une maison de repos?
Ben dites donc, zavez pas compris grand chose à ce qu'est un crédit,
une caution, une contrepartie économique, le financement de projets,
etc. etc. Perso, je ne comprends pas grand chose au macramé, mais je ne
me permettrais pas de donner des conseils pratiques. Mais hein, si vous
vous sentez inspiré, ça permet de passer un moment à rêver...

Plus surprenant est votre idée de financer à crédit une crèche (ou
l'Etat lui-même, par le circuit bancaire, ou le marché financier, ou la
planche à billets. Elle ne me trouble pas outre mesure, sauf au niveau
des modalités, mais réalisez-vous que c'est précisément l'insérer dans
un circuit économique ?
Que vous puissiez en avoir l'idée m'étonne depuis le début. En évoquant
le besoin même de crédit, quelle que soit sa forme, pour ces besoins
comme pour d'autres, vous n'êtes pas cohérent avec votre propre
idéologie !
Et c'est là que vous m'avez déçu, mon Julien, je vous prenais pour un
pur ;-)

Je serais vous, j'irais tout de suite arracher la page portant le mot
crédit dans votre dictionnaire. Ca vous éviterait une lecture inspirée
par le diable ...ou la lubrique vipère libérale (c'est bien comme cela
qu'il faut la qualifier, non ?).
Ah, je suis content de vous avoir remis dans l'orthodoxie ! Vous savez
ce qui peut arriver aux dissidents dans le régime paradisiaque que vous
souhaitez ? Moi par contre, je tiens à vous ;-)
unknown
2012-05-13 09:42:38 UTC
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Post by pgreenfinch
.
Post by unknown
La contrepartie économique c'est la garantie du créancier d'être payé en
évaluant la crédibilité du projet, or la contrepartie économique n'est
pas nécessaire dès lors qu'un tiers se porte caution. Quand une banque
prête à un État elle n'a pas besoin de contrepartie économique
puisqu'elle sait que c'est la population qui se porte caution par les
taxes et les impôts qui vont lui être prélevée pour honorer les
obligations. Deuxièmement la contrepartie économique ne peut pas être
évaluée puisque les dettes se font de façon groupées, et de toute façon
l'État n'est pas une société commerciale dont on peut facilement évaluer
le bilan. C'est quoi la contrepartie économique d'une crèche, d'une
école, d'un hôpital ou d'une maison de repos?
Ben dites donc, zavez pas compris grand chose à ce qu'est un crédit,
une caution, une contrepartie économique, le financement de projets,
etc. etc. Perso, je ne comprends pas grand chose au macramé, mais je ne
me permettrais pas de donner des conseils pratiques. Mais hein, si vous
vous sentez inspiré, ça permet de passer un moment à rêver...
Plus surprenant est votre idée de financer à crédit une crèche (ou
l'Etat lui-même, par le circuit bancaire, ou le marché financier, ou la
planche à billets. Elle ne me trouble pas outre mesure, sauf au niveau
des modalités, mais réalisez-vous que c'est précisément l'insérer dans
un circuit économique ?
Que vous puissiez en avoir l'idée m'étonne depuis le début. En évoquant
le besoin même de crédit, quelle que soit sa forme, pour ces besoins
comme pour d'autres, vous n'êtes pas cohérent avec votre propre
idéologie !
Et c'est là que vous m'avez déçu, mon Julien, je vous prenais pour un
pur ;-)
Je serais vous, j'irais tout de suite arracher la page portant le mot
crédit dans votre dictionnaire. Ca vous éviterait une lecture inspirée
par le diable ...ou la lubrique vipère libérale (c'est bien comme cela
qu'il faut la qualifier, non ?).
Ah, je suis content de vous avoir remis dans l'orthodoxie ! Vous savez
ce qui peut arriver aux dissidents dans le régime paradisiaque que vous
souhaitez ? Moi par contre, je tiens à vous ;-)
Ce matin en me réveillant j'ai plié en 4 ton ami zw, ce n'était pas très
difficile car il ne sait pas manier la langue de bois aussi bien que toi
pour masquer ses contradictions. Toi tu es un coriace, tu aurais fait un
bon politique, dommage.
pgreenfinch
2012-05-13 21:40:46 UTC
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Post by unknown
Post by pgreenfinch
.
Post by unknown
La contrepartie économique c'est la garantie du créancier d'être payé en
évaluant la crédibilité du projet, or la contrepartie économique n'est
pas nécessaire dès lors qu'un tiers se porte caution. Quand une banque
prête à un État elle n'a pas besoin de contrepartie économique
puisqu'elle sait que c'est la population qui se porte caution par les
taxes et les impôts qui vont lui être prélevée pour honorer les
obligations. Deuxièmement la contrepartie économique ne peut pas être
évaluée puisque les dettes se font de façon groupées, et de toute façon
l'État n'est pas une société commerciale dont on peut facilement évaluer
le bilan. C'est quoi la contrepartie économique d'une crèche, d'une
école, d'un hôpital ou d'une maison de repos?
Ben dites donc, zavez pas compris grand chose à ce qu'est un crédit,
une caution, une contrepartie économique, le financement de projets,
etc. etc. Perso, je ne comprends pas grand chose au macramé, mais je ne
me permettrais pas de donner des conseils pratiques. Mais hein, si vous
vous sentez inspiré, ça permet de passer un moment à rêver...
Plus surprenant est votre idée de financer à crédit une crèche (ou
l'Etat lui-même, par le circuit bancaire, ou le marché financier, ou la
planche à billets. Elle ne me trouble pas outre mesure, sauf au niveau
des modalités, mais réalisez-vous que c'est précisément l'insérer dans
un circuit économique ?
Que vous puissiez en avoir l'idée m'étonne depuis le début. En évoquant
le besoin même de crédit, quelle que soit sa forme, pour ces besoins
comme pour d'autres, vous n'êtes pas cohérent avec votre propre
idéologie !
Et c'est là que vous m'avez déçu, mon Julien, je vous prenais pour un
pur ;-)
Je serais vous, j'irais tout de suite arracher la page portant le mot
crédit dans votre dictionnaire. Ca vous éviterait une lecture inspirée
par le diable ...ou la lubrique vipère libérale (c'est bien comme cela
qu'il faut la qualifier, non ?).
Ah, je suis content de vous avoir remis dans l'orthodoxie ! Vous savez
ce qui peut arriver aux dissidents dans le régime paradisiaque que vous
souhaitez ? Moi par contre, je tiens à vous ;-)
Ce matin en me réveillant j'ai plié en 4 ton ami zw, ce n'était pas très
difficile car il ne sait pas manier la langue de bois aussi bien que toi
pour masquer ses contradictions. Toi tu es un coriace, tu aurais fait un
bon politique, dommage.
Questions contradictions et masques en bois, je te verrais assez bien
collectionner de l'art Dogon ;-)
JCL
2012-05-11 17:47:01 UTC
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Post by pgreenfinch
Vous êtes crème caramel ou île flottante ?
Moi, plutôt macaron... Alabenne, faut voir...
--
Jean-Claude
La photo numérique pour débutants et futur débutants
http://jcl.new.fr/
zw
2012-05-11 17:51:05 UTC
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Post by unknown
Post by Dobb
Post by unknown
Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro
fort mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage,
explosion de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs,
Il n'y en a pas. Dobb a raison. Tu crois qu'il y a inversion car la
gauche française marche sur la tête depuis 1981. Rien d'étonnant
d'ailleurs, Mitterrand était de droite.
Post by unknown
quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse.
Le système financier mondial est effectivement disfonctionnel et, comme
tu l'indiques, il ponctionne et exploite les peuples. En revanche, tu
te trompes en pensant que l'euro fait cela ou que l'euro serait
responsable, l'exploitation des peuples se fait par le dollar-roi, une
monnaie qui est imposée par la force armée et qui permet aux USA de
s'endetter à l'infini sans payer d'intérêt.

L'euro est un anti-dollar dans sa conception. Mais pour le comprendre,
il faut déjà avoir pris conscience d'un certain nombre de chose et,
notament, avoir compris que Baudruchon est un démagogue. Je crois que
tu n'en es pas encore là.
Post by unknown
Aucun trader qui
s'enrichit de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de
la valeur ajoutée d'une infirmière en europe.
C'est idiot comme remarque car on peut également te répondre qu'il
existe 500,000 fonctionnaires en trop en France comme le confirme les
différentes études sur le sujet. Or, 500,000 fonctionnaires en trop,
c'est 20 milliards par an soit bien plus que tous les patrons, tous les
traders, tout ce que tu veux.

Il est tout aussi débile de dire que les fonctionnaires ne servent à
rien que de dire que les riches doivent être plus taxés. Ce sont des
anneries, des idioties. En réalité, tu peux avoir un état bien géré
avec 45% de dépenses publiques et un état mal géré avec 25% de dépenses
publiques. Ce sont deux sujets distincts.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
unknown
2012-05-11 18:15:54 UTC
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Post by zw
Post by unknown
Post by Dobb
Post by unknown
Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro
fort mais en refuse ses conséquences : délocalisations, chômage,
explosion de la dette, puis récession dans les pays du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs,
Il n'y en a pas. Dobb a raison. Tu crois qu'il y a inversion car la
gauche française marche sur la tête depuis 1981. Rien d'étonnant
d'ailleurs, Mitterrand était de droite.
Post by unknown
quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui n'a
aucune utilité, ne produit aucune richesse.
Le système financier mondial est effectivement disfonctionnel et, comme
tu l'indiques, il ponctionne et exploite les peuples. En revanche, tu
te trompes en pensant que l'euro fait cela ou que l'euro serait
responsable, l'exploitation des peuples se fait par le dollar-roi, une
monnaie qui est imposée par la force armée et qui permet aux USA de
s'endetter à l'infini sans payer d'intérêt.
L'euro est un anti-dollar dans sa conception. Mais pour le comprendre,
il faut déjà avoir pris conscience d'un certain nombre de chose et,
notament, avoir compris que Baudruchon est un démagogue. Je crois que
tu n'en es pas encore là.
Le dollar escroque les nations, l'euro est une monnaie concurrente qui
escroque aussi les européens au profit des marchés financiers. Les
peuples se font escroquer deux fois, ta logique qui consiste à dire que
puisque l'euro est un anti-dollar c'est une bonne monnaie est on ne peut
plus ridicule. Je ne demande qu'à lire tes arguments, le problème c'est
que tu es in-foutu d'en fournir un seul de convainquant, tu ne peux pas
en dire autant de moi.
Post by zw
Post by unknown
Aucun trader qui
s'enrichit de cette escroquerie n'a jamais produit le millionième de
la valeur ajoutée d'une infirmière en europe.
C'est idiot comme remarque car on peut également te répondre qu'il
existe 500,000 fonctionnaires en trop en France comme le confirme les
différentes études sur le sujet. Or, 500,000 fonctionnaires en trop,
c'est 20 milliards par an soit bien plus que tous les patrons, tous les
traders, tout ce que tu veux.
Ridicule, un fonctionnaire est par définition un travailleur qui créé
des richesses, en faisant l'économie de son travail tu diminues la
capacité productive de l'État. Ce n'est pas ton étude qui pourra
démontrer le contraire.
Post by zw
Il est tout aussi débile de dire que les fonctionnaires ne servent à
rien que de dire que les riches doivent être plus taxés. Ce sont des
anneries, des idioties. En réalité, tu peux avoir un état bien géré
avec 45% de dépenses publiques et un état mal géré avec 25% de dépenses
publiques. Ce sont deux sujets distincts.
zw
2012-05-11 21:09:33 UTC
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Post by zw
Post by unknown
Post by Dobb
Post by unknown
Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro
fort mais en refuse ses conséquences : délocalisations,
chômage, explosion de la dette, puis récession dans les pays
du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs,
Il n'y en a pas. Dobb a raison. Tu crois qu'il y a inversion car la
gauche française marche sur la tête depuis 1981. Rien d'étonnant
d'ailleurs, Mitterrand était de droite.
Post by unknown
quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui
n'a aucune utilité, ne produit aucune richesse.
Le système financier mondial est effectivement disfonctionnel et,
comme tu l'indiques, il ponctionne et exploite les peuples. En
revanche, tu te trompes en pensant que l'euro fait cela ou que
l'euro serait responsable, l'exploitation des peuples se fait par
le dollar-roi, une monnaie qui est imposée par la force armée et
qui permet aux USA de s'endetter à l'infini sans payer d'intérêt.
L'euro est un anti-dollar dans sa conception. Mais pour le
comprendre, il faut déjà avoir pris conscience d'un certain nombre
de chose et, notament, avoir compris que Baudruchon est un
démagogue. Je crois que tu n'en es pas encore là.
Le dollar escroque les nations,
Sais-tu expliquer comment ? sais-tu expliquer le mécanisme ? sais-tu
expliquer pourquoi c'est une escroquerie ?
Post by unknown
l'euro est une monnaie concurrente
qui escroque aussi les européens au profit des marchés financiers.
L'euro n'est pas une monnaie, c'est un produit synthétique. L'euro ne
concurrence aucunement le dollar.
unknown
2012-05-11 21:38:54 UTC
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Post by zw
Post by unknown
Post by zw
Post by unknown
Post by Dobb
Post by unknown
Post by zw
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Les comiques, ce sont plutôt les allemands qui veulent un euro
fort mais en refuse ses conséquences : délocalisations,
chômage, explosion de la dette, puis récession dans les pays
du Sud.
Les Allemands ne croient qu'à une chose : au respect de
la parole donnée. Ils n'ont accepté de participer à une
monnaie commune que si elle était gérée de manière
suffisamment orthodoxe. Les accords de Maastricht
leur ont donné les assurances qu'ils souhaitaient, et
ils ont dès lors accepté de participer. Et ensuite,
contrairement aux Grecs, ils n'ont pas triché.
Quel est le problème si les Allemands ne veulent pas
transformer cette monnaie commune en la monnaie
Mickey Mouse que vous et la fonkerie grecque voulez ?
Les Grecs sont entièrement libres, s'ils le souhaitent,
d'émettre une monnaie Mickey Mouse pour eux tout
seuls, photocopiable à souhait, et d'abreuver leurs
fonks avec elle. Qui les en empêche ? Personne.
Alors, qu'attendent-ils ?
Et si Hollande souhaite créer une monnaie Mickey
Mouse commune avec les Grecs, les Espagnols et
les Portugais, pour payer les dizaines de milliers
de nouveaux fonks qu'il veut engager, il peut le
faire aussi. Qu'attend-il ? Pourquoi traîne-t-il
comme une larve d'assisté social à quémander
l'appui d'Angela Merkel ?
Le mode de gestion de l'euro est défini dans les
accords de Maastricht. Mais qu'est-ce qui empêche
d'avoir une autre monnaie dont le mode de gestion
est défini à Disneyland Paris ?
Si les fonks sont payés en Mickey Mouse, ça ne me
gène pas du tout, vous savez, bien au contraire...
Dobb
Amusant comme inversion des valeurs,
Il n'y en a pas. Dobb a raison. Tu crois qu'il y a inversion car la
gauche française marche sur la tête depuis 1981. Rien d'étonnant
d'ailleurs, Mitterrand était de droite.
Post by unknown
quand on sait que l'euro est une
monnaie qui sert à payer des intérêts à un système financier qui
n'a aucune utilité, ne produit aucune richesse.
Le système financier mondial est effectivement disfonctionnel et,
comme tu l'indiques, il ponctionne et exploite les peuples. En
revanche, tu te trompes en pensant que l'euro fait cela ou que
l'euro serait responsable, l'exploitation des peuples se fait par
le dollar-roi, une monnaie qui est imposée par la force armée et
qui permet aux USA de s'endetter à l'infini sans payer d'intérêt.
L'euro est un anti-dollar dans sa conception. Mais pour le
comprendre, il faut déjà avoir pris conscience d'un certain nombre
de chose et, notament, avoir compris que Baudruchon est un
démagogue. Je crois que tu n'en es pas encore là.
Le dollar escroque les nations,
Sais-tu expliquer comment ? sais-tu expliquer le mécanisme ? sais-tu
expliquer pourquoi c'est une escroquerie ?
Parce que le dollar s'est imposé comme la principale monnaie de réserve
dans le monde, que sa valeur est maintenue à un niveau artificiellement
élevé grâce au cartel pétrolier d'Arabie lequel refuse de vendre le
pétrole dans une autre devise que le dollar, de ce fait le dollar ne se
déprécie pas quand la réserve fédérale fait tourner la planche à billet.
Post by zw
Post by unknown
l'euro est une monnaie concurrente
qui escroque aussi les européens au profit des marchés financiers.
L'euro n'est pas une monnaie, c'est un produit synthétique. L'euro ne
concurrence aucunement le dollar.
roaringriri
2012-05-11 08:57:21 UTC
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Post by zw
La gauche grecque veut l'euro mais pas l'austérité. Dixit les leaders
de gauche !!! ha ha ha ha.
On croirait des enfants.
La gauche grecque propose des fonctionnaires, des lois qui
déresponsabilisent et des dépenses publiques.
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Voir un peuple se faire écrabouiller en direct, par vos maîtres, c'est
en effet tordant.
Ca sera même, encore plus marrant quand, comme je l'espère, ils
imprimeront leurs propres Euros, et que votre château de cartes
s'effondrera.
Sylvain
2012-05-11 11:19:45 UTC
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Voir un peuple se faire écrabouiller en direct, par vos maîtres, c'est en
effet tordant.
Ils se sont fait écrabouillé parce qu'ils ont faits n'importe quoi.
Cela devrait servir de leçon aux Français qui veulent du social et des
fonctionnaires
Ca sera même, encore plus marrant quand, comme je l'espère, ils
imprimeront leurs propres Euros, et que votre château de cartes
s'effondrera.
Ils n'ont pas le droit, et s'ils le font leur monaie sera considérée comme
de la fausse monaie et les conséquences seront encore pire pour eux
unknown
2012-05-11 11:34:25 UTC
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Post by Sylvain
Post by roaringriri
Voir un peuple se faire écrabouiller en direct, par vos maîtres, c'est
en effet tordant.
Ils se sont fait écrabouillé parce qu'ils ont faits n'importe quoi.
Cela devrait servir de leçon aux Français qui veulent du social et des
fonctionnaires
Post by roaringriri
Ca sera même, encore plus marrant quand, comme je l'espère, ils
imprimeront leurs propres Euros, et que votre château de cartes
s'effondrera.
Ils n'ont pas le droit, et s'ils le font leur monaie sera considérée
comme de la fausse monaie et les conséquences seront encore pire pour eux
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous tondre,
c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
Sylvain
2012-05-11 13:52:35 UTC
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"Julien Arlandis" <"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit dans le message
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous tondre, c'est
Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
N'importe quoi !!!

C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus

Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
unknown
2012-05-11 14:11:53 UTC
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Post by Sylvain
"Julien Arlandis" <"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit dans le
Post by unknown
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous tondre,
c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu qu'un
peuple souverain allait se laisser dicter par une puissance étrangère
sans résistance? Si j'étais un grec je préférerai 1000 fois emporter la
construction européenne dans le naufrage de mon pays que de céder aux
humiliations décidées par les Allemands, l'intransigeance et le mépris
des uns et des autres n'annoncent pas une fin heureuse à ce conflit.
zw
2012-05-11 21:56:59 UTC
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Post by unknown
Post by Sylvain
"Julien Arlandis" <"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit dans le
Post by unknown
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous
tondre, c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu qu'un
peuple souverain allait se laisser dicter par une puissance étrangère
sans résistance? Si j'étais un grec je préférerai 1000 fois emporter
la construction européenne dans le naufrage de mon pays que de céder
aux humiliations décidées par les Allemands, l'intransigeance et le
mépris des uns et des autres n'annoncent pas une fin heureuse à ce
conflit.
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas tenu et ont
menti collectivement pendand des années à leurs partenaires.

Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent en
retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les pauvres
ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé, les Grecs ont
écouté des leaders de gauche leur faire des promesses pendant tant
d'années. L'heure de l'addition a sonné.

Il n'y a ni intransigeance, ni mépris, ni humiliation. Il faut arrêter
deux secondes de croire ce que raconte tel ou tel leader politique
démagogue. De nombreux leaders politiques se sont permis des références
historiques scandaleuses et les Allemands n'ont rien dit, on pris du
recul et la sage décision de ne pas polémiquer.

Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naiveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail et
toute la panoplie habituelle.

Vous la reconnaitrez......elle existe en France aussi, même si les
Français sont généralement un peu moins naifs, un peu plus modérés.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
unknown
2012-05-12 06:56:52 UTC
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Post by zw
Post by unknown
"Julien Arlandis"<"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit dans le
Post by unknown
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous
tondre, c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu qu'un
peuple souverain allait se laisser dicter par une puissance étrangère
sans résistance? Si j'étais un grec je préférerai 1000 fois emporter
la construction européenne dans le naufrage de mon pays que de céder
aux humiliations décidées par les Allemands, l'intransigeance et le
mépris des uns et des autres n'annoncent pas une fin heureuse à ce
conflit.
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas tenu et ont
menti collectivement pendand des années à leurs partenaires.
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent en
retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les pauvres
ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé, les Grecs ont
écouté des leaders de gauche leur faire des promesses pendant tant
d'années. L'heure de l'addition a sonné.
Effaré je suis de lire un tel pacquage de bêtises, au moins ça permet de
cerner la valeur du personnage qui les énonce.
Post by zw
Il n'y a ni intransigeance, ni mépris, ni humiliation. Il faut arrêter
deux secondes de croire ce que raconte tel ou tel leader politique
démagogue. De nombreux leaders politiques se sont permis des références
historiques scandaleuses et les Allemands n'ont rien dit, on pris du
recul et la sage décision de ne pas polémiquer.
Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naiveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail et
toute la panoplie habituelle.
Vous la reconnaitrez......elle existe en France aussi, même si les
Français sont généralement un peu moins naifs, un peu plus modérés.
Propagande ignoble incitant à la haine entre les peuples, cela dit on
n'a pas du tout les mêmes sources, la durée annuelle du travail d'un
grec c'est 2119 heures contre 1390 heures pour un allemand. L'âge de
départ à la retraite ce n'est pas 52 ans comme tu l'affirmes mais 61.5
ans, le départ vient d'être repoussé à 63.5 ans.
zw
2012-05-12 08:10:39 UTC
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"Julien Arlandis"<"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit dans
le
Post by zw
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Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous
tondre, c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu qu'un
peuple souverain allait se laisser dicter par une puissance
étrangère sans résistance? Si j'étais un grec je préférerai 1000
fois emporter la construction européenne dans le naufrage de mon
pays que de céder aux humiliations décidées par les Allemands,
l'intransigeance et le mépris des uns et des autres n'annoncent
pas une fin heureuse à ce conflit.
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas tenu et
ont menti collectivement pendand des années à leurs partenaires.
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent en
retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les pauvres
ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé, les Grecs ont
écouté des leaders de gauche leur faire des promesses pendant tant
d'années. L'heure de l'addition a sonné.
Effaré je suis de lire un tel pacquage de bêtises, au moins ça permet
de cerner la valeur du personnage qui les énonce.
Je peux comprendre que vous soyez étonné de lire cela après avoir bu
les paroles d'un Baudruchon pendant 6 mois, mais c'est pourtant la
réalité.
Post by unknown
Post by zw
Il n'y a ni intransigeance, ni mépris, ni humiliation. Il faut
arrêter deux secondes de croire ce que raconte tel ou tel leader
politique démagogue. De nombreux leaders politiques se sont permis
des références historiques scandaleuses et les Allemands n'ont rien
dit, on pris du recul et la sage décision de ne pas polémiquer.
Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naiveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail
et toute la panoplie habituelle.
Vous la reconnaitrez......elle existe en France aussi, même si les
Français sont généralement un peu moins naifs, un peu plus modérés.
Propagande ignoble incitant à la haine entre les peuples,
oh, non, erreur. La haine entre les peuples, c'est la gauche française
qui s'y laisse aller avec toutes ces blagues mesquines et médiocres sur
le passé de l'Allemagne. C'est toujours la gauche qui divise les gens
en parlant des riches, des rentiers et autres termes dans des phrases
ambigues et sarcastiques.
Post by unknown
cela dit on
n'a pas du tout les mêmes sources, la durée annuelle du travail d'un
grec c'est 2119 heures contre 1390 heures pour un allemand.
La durée annuelle du travail n'est pas un paramètre important.
Doit-elle être élevée ? doit-elle être au contraire faible ? ce sont
des chiffres artificiels qui empêchent la réflexion, le débat.

Savez-vous par exemple qu'un individu en retraite n'est pas pris en
compte et qu'en Grèce, nombre de fonctionnaire sont en retraite à 52
ans ?

Ils ont ainsi 15 ans de vacances payés par les contribuables ce qui,
sur une carrière de 40 ans, représente plus du tiers ? ainsi vos 2119
heures sont en réalité 1324 heures ?
Post by unknown
L'âge de
départ à la retraite ce n'est pas 52 ans comme tu l'affirmes mais
61.5 ans, le départ vient d'être repoussé à 63.5 ans.
Non, ça c'est pour les médias, pour les commentateurs qui veulent un
chiffre unique, simple. La réalité est faite de dérogation, de régimes
spéciaux, de cas particulier. Un peu comme les fonctionnaires en
France, on a inventé des statuts "Canada Dry" par centaines afin de ne
pas les comptabiliser dans les mêmes tableaux mais qu'ils soient à la
SNCF, chez EDF, France Telecom, la Poste, l'hôpital public, j'en passe
et des meilleurs, ce sont des fonctionnaires.

Mais ne crois pas que je sois extrèmiste, je ne le suis pas, je suis
modéré politiquement. Je m'insurge contre la démagogie et la
malhonneteté, c'est tout.

L'europe est justement un projet politique qui n'est ni indivudaliste,
ni collectiviste. C'est le seul projet politique qui soit modéré sur
terre aujourd'hui. L'Europe peut apporter bien des choses en termes de
droits sociaux et en termes de transparence financière.

Je n'ai rien contre une dépense publique à 40% dès lors que l'argent
n'est pas gaspillé.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
unknown
2012-05-12 10:51:00 UTC
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Post by zw
Post by unknown
Post by zw
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"Julien Arlandis"<"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit dans
le
Post by zw
Post by unknown
Post by unknown
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez vous
tondre, c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu qu'un
peuple souverain allait se laisser dicter par une puissance
étrangère sans résistance? Si j'étais un grec je préférerai 1000
fois emporter la construction européenne dans le naufrage de mon
pays que de céder aux humiliations décidées par les Allemands,
l'intransigeance et le mépris des uns et des autres n'annoncent
pas une fin heureuse à ce conflit.
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas tenu et
ont menti collectivement pendand des années à leurs partenaires.
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent en
retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les pauvres
ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé, les Grecs ont
écouté des leaders de gauche leur faire des promesses pendant tant
d'années. L'heure de l'addition a sonné.
Effaré je suis de lire un tel pacquage de bêtises, au moins ça permet
de cerner la valeur du personnage qui les énonce.
Je peux comprendre que vous soyez étonné de lire cela après avoir bu
les paroles d'un Baudruchon pendant 6 mois, mais c'est pourtant la
réalité.
J'aurais pu être étonné par ton propos s'il avait été original et
nouveau, or tu ne fais que répéter et amplifier ce qu'on nous dit sur
toutes les radios, à la télé, dans le figaro depuis 2 ans.
Post by zw
Post by unknown
Post by zw
Il n'y a ni intransigeance, ni mépris, ni humiliation. Il faut
arrêter deux secondes de croire ce que raconte tel ou tel leader
politique démagogue. De nombreux leaders politiques se sont permis
des références historiques scandaleuses et les Allemands n'ont rien
dit, on pris du recul et la sage décision de ne pas polémiquer.
Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naiveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail
et toute la panoplie habituelle.
Vous la reconnaitrez......elle existe en France aussi, même si les
Français sont généralement un peu moins naifs, un peu plus modérés.
Propagande ignoble incitant à la haine entre les peuples,
oh, non, erreur. La haine entre les peuples, c'est la gauche française
qui s'y laisse aller avec toutes ces blagues mesquines et médiocres sur
le passé de l'Allemagne. C'est toujours la gauche qui divise les gens
en parlant des riches, des rentiers et autres termes dans des phrases
ambigues et sarcastiques.
Post by unknown
cela dit on
n'a pas du tout les mêmes sources, la durée annuelle du travail d'un
grec c'est 2119 heures contre 1390 heures pour un allemand.
La durée annuelle du travail n'est pas un paramètre important.
Doit-elle être élevée ? doit-elle être au contraire faible ? ce sont
des chiffres artificiels qui empêchent la réflexion, le débat.
Savez-vous par exemple qu'un individu en retraite n'est pas pris en
compte et qu'en Grèce, nombre de fonctionnaire sont en retraite à 52
ans ?
Nombre de fonctionnaire? Combien?
Post by zw
Ils ont ainsi 15 ans de vacances payés par les contribuables ce qui,
sur une carrière de 40 ans, représente plus du tiers ? ainsi vos 2119
heures sont en réalité 1324 heures ?
Tu fais de l'économie de bistrot sur la base de ragots, les chiffres que
tu contestes viennent de l'OCDE.
Post by zw
Post by unknown
L'âge de
départ à la retraite ce n'est pas 52 ans comme tu l'affirmes mais
61.5 ans, le départ vient d'être repoussé à 63.5 ans.
Non, ça c'est pour les médias, pour les commentateurs qui veulent un
chiffre unique, simple. La réalité est faite de dérogation, de régimes
spéciaux, de cas particulier. Un peu comme les fonctionnaires en
France, on a inventé des statuts "Canada Dry" par centaines afin de ne
pas les comptabiliser dans les mêmes tableaux mais qu'ils soient à la
SNCF, chez EDF, France Telecom, la Poste, l'hôpital public, j'en passe
et des meilleurs, ce sont des fonctionnaires.
Mais ne crois pas que je sois extrèmiste, je ne le suis pas, je suis
modéré politiquement. Je m'insurge contre la démagogie et la
malhonneteté, c'est tout.
Le même gars qui dans le même message nous explique sans argument ni
chiffrage - que la dette de la Grèce vient des régimes spéciaux des
fonctionnaires, des conducteurs aveugles et de leurs piscines -
s'insurge contre la démagogie et la malhonnêteté. L'inversion des
valeurs atteint son paroxysme en ces temps de crise.
Post by zw
L'europe est justement un projet politique qui n'est ni indivudaliste,
ni collectiviste. C'est le seul projet politique qui soit modéré sur
terre aujourd'hui. L'Europe peut apporter bien des choses en termes de
droits sociaux et en termes de transparence financière.
Je n'ai rien contre une dépense publique à 40% dès lors que l'argent
n'est pas gaspillé.
Mais tu es in-foutu de nous définir ce qu'est une bonne dépense
publique, ton seul propos c'est de cracher ta haine sur les
fonctionnaires qui font vivre leur pays.
zw
2012-05-12 18:45:03 UTC
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Post by zw
Post by unknown
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Post by unknown
"Julien Arlandis"<"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit
dans
Post by zw
Post by unknown
le
Post by zw
Post by unknown
Post by unknown
Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez
vous tondre, c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui
vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu
qu'un peuple souverain allait se laisser dicter par une
puissance étrangère sans résistance? Si j'étais un grec je
préférerai 1000 fois emporter la construction européenne dans
le naufrage de mon pays que de céder aux humiliations
décidées par les Allemands, l'intransigeance et le mépris des
uns et des autres n'annoncent pas une fin heureuse à ce
conflit.
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas
tenu et ont menti collectivement pendand des années à leurs
partenaires.
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent
en retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les
pauvres ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé,
les Grecs ont écouté des leaders de gauche leur faire des
promesses pendant tant d'années. L'heure de l'addition a sonné.
Effaré je suis de lire un tel pacquage de bêtises, au moins ça
permet de cerner la valeur du personnage qui les énonce.
Je peux comprendre que vous soyez étonné de lire cela après avoir bu
les paroles d'un Baudruchon pendant 6 mois, mais c'est pourtant la
réalité.
²
J'aurais pu être étonné par ton propos s'il avait été original et
nouveau, or tu ne fais que répéter et amplifier ce qu'on nous dit sur
toutes les radios, à la télé, dans le figaro depuis 2 ans.
Donne moi des exemples de réformes en Grèce entre 2000 et 2008.
Qu'ont-ils fait pour réformer leur état ? leurs pratiques ? Quels ont
été les termes du débat public ?
Post by unknown
Post by zw
Post by unknown
Post by zw
Il n'y a ni intransigeance, ni mépris, ni humiliation. Il faut
arrêter deux secondes de croire ce que raconte tel ou tel leader
politique démagogue. De nombreux leaders politiques se sont
permis des références historiques scandaleuses et les Allemands
n'ont rien dit, on pris du recul et la sage décision de ne pas
polémiquer.
Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs
choix politiques, de la naiveté qu'ils ont eu de croire des
leaders politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins
de travail et toute la panoplie habituelle.
Vous la reconnaitrez......elle existe en France aussi, même si
les Français sont généralement un peu moins naifs, un peu plus
modérés.
Propagande ignoble incitant à la haine entre les peuples,
oh, non, erreur. La haine entre les peuples, c'est la gauche
française qui s'y laisse aller avec toutes ces blagues mesquines et
médiocres sur le passé de l'Allemagne. C'est toujours la gauche qui
divise les gens en parlant des riches, des rentiers et autres
termes dans des phrases ambigues et sarcastiques.
Post by unknown
cela dit on
n'a pas du tout les mêmes sources, la durée annuelle du travail
d'un grec c'est 2119 heures contre 1390 heures pour un allemand.
La durée annuelle du travail n'est pas un paramètre important.
Doit-elle être élevée ? doit-elle être au contraire faible ? ce sont
des chiffres artificiels qui empêchent la réflexion, le débat.
Savez-vous par exemple qu'un individu en retraite n'est pas pris en
compte et qu'en Grèce, nombre de fonctionnaire sont en retraite à 52
ans ?
Nombre de fonctionnaire? Combien?
Je veux simplement te dire que raisonner sur le nombre d'heures
travaillées est parfaitement stupide. Encore une fois.. que déduis-tu
d'un nombre important ? qu'ils sont idiots ? et que déduis-tu d'un
nombre faible ? qu'ils sont paresseux ?

Cela n'a aucun sens. Parfaitement stupide.
Post by unknown
Post by zw
Ils ont ainsi 15 ans de vacances payés par les contribuables ce qui,
sur une carrière de 40 ans, représente plus du tiers ? ainsi vos
2119 heures sont en réalité 1324 heures ?
Tu fais de l'économie de bistrot sur la base de ragots, les chiffres
que tu contestes viennent de l'OCDE.
Non, je dis simplement que ces chiffres n'ont aucun sens. D'ailleurs
j'attends toujours que tu en déduises une quelconque conclusion qui
invaliderait le fait que les Grecs sont les premiers responsables de ce
qui leur arrive.
Post by unknown
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L'âge de
départ à la retraite ce n'est pas 52 ans comme tu l'affirmes mais
61.5 ans, le départ vient d'être repoussé à 63.5 ans.
Non, ça c'est pour les médias, pour les commentateurs qui veulent un
chiffre unique, simple. La réalité est faite de dérogation, de
régimes spéciaux, de cas particulier. Un peu comme les
fonctionnaires en France, on a inventé des statuts "Canada Dry" par
centaines afin de ne pas les comptabiliser dans les mêmes tableaux
mais qu'ils soient à la SNCF, chez EDF, France Telecom, la Poste,
l'hôpital public, j'en passe et des meilleurs, ce sont des
fonctionnaires.
Mais ne crois pas que je sois extrèmiste, je ne le suis pas, je suis
modéré politiquement. Je m'insurge contre la démagogie et la
malhonneteté, c'est tout.
Le même gars qui dans le même message nous explique sans argument ni
chiffrage - que la dette de la Grèce vient des régimes spéciaux des
fonctionnaires, des conducteurs aveugles et de leurs piscines -
s'insurge contre la démagogie et la malhonnêteté. L'inversion des
valeurs atteint son paroxysme en ces temps de crise.
Montre moi une réforme importante, courageuse que les Grecs auraient
fait entre 2000 et 2008.

Juste un exemple qui montrerait qu'ils prennent conscience que les
européens ne sont plus les leaders du monde mais au contraire des
sociétés qui perdent chaque parcelle de positionnement stratégique
qu'elles avaient et qui leur permettaient de bien vivre.

Seuls les USA ont réussi à préserver leur rente, les européens ont
perdu la rente colonniale, la rente du savoir et maintenant, ils
perdent la rente de la sécurité. Les européens sont presque à poil, ils
vont devoir travailler beaucoup plus ou accepter de baisser leur niveau
de vie.

Désolé, mais le monde est ainsi. Fini la rente de situation. Tu devrais
être content d'ailleurs car la rente, c'est le contraire de l'idéal de
gauche.
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Post by zw
L'europe est justement un projet politique qui n'est ni
indivudaliste, ni collectiviste. C'est le seul projet politique qui
soit modéré sur terre aujourd'hui. L'Europe peut apporter bien des
choses en termes de droits sociaux et en termes de transparence
financière.
Je n'ai rien contre une dépense publique à 40% dès lors que l'argent
n'est pas gaspillé.
Mais tu es in-foutu de nous définir ce qu'est une bonne dépense
publique, ton seul propos c'est de cracher ta haine sur les
fonctionnaires qui font vivre leur pays.
Je n'ai, à l'inverse de toi, aucun sentiment. Je dis simplement que la
fonction publique française doit se moderniser comme en Allemagne, en
Suède, en Finlande, au Canada. Cela permettra d'économiser 30 milliards
par an. Mais il n'y a pas que cela, il faut que la France articule une
stratégie européenne pour défier la finance mafieuse.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
|PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
2012-05-12 19:37:11 UTC
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"Julien Arlandis"<"julien.arlandis at laposte.net"> a écrit
dans
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le
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Peuple Grec, prosternez vous, baissez la tête, laissez
vous tondre, c'est Sylvain ce grand expert incontesté qui
vous le dit.
N'importe quoi !!!
C'est normal que ceux qui travaillent plus, aient plus
Que ceux qui comptent sur les autres, aient un retour de baton
Quelle interprétation aussi naïve que simpliste, où as tu vu
qu'un peuple souverain allait se laisser dicter par une
puissance étrangère sans résistance? Si j'étais un grec je
préférerai 1000 fois emporter la construction européenne dans
le naufrage de mon pays que de céder aux humiliations
décidées par les Allemands, l'intransigeance et le mépris des
uns et des autres n'annoncent pas une fin heureuse à ce
conflit.
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas
tenu et ont menti collectivement pendand des années à leurs
partenaires.
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent
en retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les
pauvres ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé,
les Grecs ont écouté des leaders de gauche leur faire des
promesses pendant tant d'années. L'heure de l'addition a sonné.
Effaré je suis de lire un tel pacquage de bêtises, au moins ça
permet de cerner la valeur du personnage qui les énonce.
Je peux comprendre que vous soyez étonné de lire cela après avoir bu
les paroles d'un Baudruchon pendant 6 mois, mais c'est pourtant la
réalité.
²
J'aurais pu être étonné par ton propos s'il avait été original et
nouveau, or tu ne fais que répéter et amplifier ce qu'on nous dit sur
toutes les radios, à la télé, dans le figaro depuis 2 ans.
Donne moi des exemples de réformes en Grèce entre 2000 et 2008.
Qu'ont-ils fait pour réformer leur état ? leurs pratiques ? Quels ont
été les termes du débat public ?
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Post by zw
Il n'y a ni intransigeance, ni mépris, ni humiliation. Il faut
arrêter deux secondes de croire ce que raconte tel ou tel leader
politique démagogue. De nombreux leaders politiques se sont
permis des références historiques scandaleuses et les Allemands
n'ont rien dit, on pris du recul et la sage décision de ne pas
polémiquer.
Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs
choix politiques, de la naiveté qu'ils ont eu de croire des
leaders politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins
de travail et toute la panoplie habituelle.
Vous la reconnaitrez......elle existe en France aussi, même si
les Français sont généralement un peu moins naifs, un peu plus
modérés.
Propagande ignoble incitant à la haine entre les peuples,
oh, non, erreur. La haine entre les peuples, c'est la gauche
française qui s'y laisse aller avec toutes ces blagues mesquines et
médiocres sur le passé de l'Allemagne. C'est toujours la gauche qui
divise les gens en parlant des riches, des rentiers et autres
termes dans des phrases ambigues et sarcastiques.
Post by unknown
cela dit on
n'a pas du tout les mêmes sources, la durée annuelle du travail
d'un grec c'est 2119 heures contre 1390 heures pour un allemand.
La durée annuelle du travail n'est pas un paramètre important.
Doit-elle être élevée ? doit-elle être au contraire faible ? ce sont
des chiffres artificiels qui empêchent la réflexion, le débat.
Savez-vous par exemple qu'un individu en retraite n'est pas pris en
compte et qu'en Grèce, nombre de fonctionnaire sont en retraite à 52
ans ?
Nombre de fonctionnaire? Combien?
Je veux simplement te dire que raisonner sur le nombre d'heures
travaillées est parfaitement stupide. Encore une fois.. que déduis-tu
d'un nombre important ? qu'ils sont idiots ? et que déduis-tu d'un
nombre faible ? qu'ils sont paresseux ?
Cela n'a aucun sens. Parfaitement stupide.
Post by unknown
Post by zw
Ils ont ainsi 15 ans de vacances payés par les contribuables ce qui,
sur une carrière de 40 ans, représente plus du tiers ? ainsi vos
2119 heures sont en réalité 1324 heures ?
Tu fais de l'économie de bistrot sur la base de ragots, les chiffres
que tu contestes viennent de l'OCDE.
Non, je dis simplement que ces chiffres n'ont aucun sens. D'ailleurs
j'attends toujours que tu en déduises une quelconque conclusion qui
invaliderait le fait que les Grecs sont les premiers responsables de ce
qui leur arrive.
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L'âge de
départ à la retraite ce n'est pas 52 ans comme tu l'affirmes mais
61.5 ans, le départ vient d'être repoussé à 63.5 ans.
Non, ça c'est pour les médias, pour les commentateurs qui veulent un
chiffre unique, simple. La réalité est faite de dérogation, de
régimes spéciaux, de cas particulier. Un peu comme les
fonctionnaires en France, on a inventé des statuts "Canada Dry" par
centaines afin de ne pas les comptabiliser dans les mêmes tableaux
mais qu'ils soient à la SNCF, chez EDF, France Telecom, la Poste,
l'hôpital public, j'en passe et des meilleurs, ce sont des
fonctionnaires.
Mais ne crois pas que je sois extrèmiste, je ne le suis pas, je suis
modéré politiquement. Je m'insurge contre la démagogie et la
malhonneteté, c'est tout.
Le même gars qui dans le même message nous explique sans argument ni
chiffrage - que la dette de la Grèce vient des régimes spéciaux des
fonctionnaires, des conducteurs aveugles et de leurs piscines -
s'insurge contre la démagogie et la malhonnêteté. L'inversion des
valeurs atteint son paroxysme en ces temps de crise.
Montre moi une réforme importante, courageuse que les Grecs auraient
fait entre 2000 et 2008.
Juste un exemple qui montrerait qu'ils prennent conscience que les
européens ne sont plus les leaders du monde mais au contraire des
sociétés qui perdent chaque parcelle de positionnement stratégique
qu'elles avaient et qui leur permettaient de bien vivre.
Seuls les USA ont réussi à préserver leur rente, les européens ont
perdu la rente colonniale, la rente du savoir et maintenant, ils
perdent la rente de la sécurité. Les européens sont presque à poil, ils
vont devoir travailler beaucoup plus ou accepter de baisser leur niveau
de vie.
Désolé, mais le monde est ainsi. Fini la rente de situation. Tu devrais
être content d'ailleurs car la rente, c'est le contraire de l'idéal de
gauche.
Post by unknown
Post by zw
L'europe est justement un projet politique qui n'est ni
indivudaliste, ni collectiviste. C'est le seul projet politique qui
soit modéré sur terre aujourd'hui. L'Europe peut apporter bien des
choses en termes de droits sociaux et en termes de transparence
financière.
Je n'ai rien contre une dépense publique à 40% dès lors que l'argent
n'est pas gaspillé.
Mais tu es in-foutu de nous définir ce qu'est une bonne dépense
publique, ton seul propos c'est de cracher ta haine sur les
fonctionnaires qui font vivre leur pays.
Je n'ai, à l'inverse de toi, aucun sentiment.
"zw", en terminateur,
tout le monde à peur !
Post by zw
Je dis simplement que la fonction publique française doit se
moderniser comme en Allemagne, en Suède, en Finlande, au Canada.
Cela permettra d'économiser 30 milliards par an.
Mais il n'y a pas que cela, il faut que la France articule une
stratégie européenne pour défier la finance mafieuse.
et plus de fonction publique permettrait d'économiser combien de Mds ?

heureusement que le ridicule ne tue pas,

wimps, de la PéA.
unknown
2012-05-12 20:14:30 UTC
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Nombre de fonctionnaire? Combien?
Je veux simplement te dire que raisonner sur le nombre d'heures
travaillées est parfaitement stupide. Encore une fois.. que déduis-tu
d'un nombre important ? qu'ils sont idiots ? et que déduis-tu d'un
nombre faible ? qu'ils sont paresseux ?
Cela n'a aucun sens. Parfaitement stupide.
Si moi je suis stupide parce que je m'appuie sur les chiffres de l'OCDE
pour te démontrer que les grecs qui travaillent plus que les allemands
ne sont pas paresseux, comment qualifier l'hurluberlu lorsqu'il nous
explique le contraire sur la seule base qu'en Grèce il y a des piscines
et des aveugles clairvoyants?
Post by zw
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Post by zw
Ils ont ainsi 15 ans de vacances payés par les contribuables ce qui,
sur une carrière de 40 ans, représente plus du tiers ? ainsi vos
2119 heures sont en réalité 1324 heures ?
Tu fais de l'économie de bistrot sur la base de ragots, les chiffres
que tu contestes viennent de l'OCDE.
Non, je dis simplement que ces chiffres n'ont aucun sens. D'ailleurs
j'attends toujours que tu en déduises une quelconque conclusion qui
invaliderait le fait que les Grecs sont les premiers responsables de ce
qui leur arrive.
C'est pourtant simple, le système financier européen - qui interdit aux
États d'emprunter à la BCE tout en finançant les banques pour prêter à
ces mêmes États - est un système pyramidal qui produit structurellement
parlant une escalade exponentielle de la dette. Tous les pays présentent
les mêmes symptômes d'une dette incontrôlable, même l'Allemagne dont tu
vantes la rigueur budgétaire a une dette colossale qui ne cesse de
croitre. La Grèce c'est juste le premier pays à avoir coulé dans une
compétition de sabordage collectif dont il ne restera aucun survivant.
Tout ceci me fait penser au jeu des chaises musicales, tu connais le
principe? Les joueurs tournent autour et doivent s'asseoir quand la
musique s'arrête. Celui qui reste debout a perdu, on retire une chaise
et on recommence jusqu'à ce que le dernier se retrouve par terre.
A la question, pourquoi untel a perdu, les libéraux nous expliquent
qu'il n'a pas couru assez vite alors que la vraie raison c'est qu'il
manquait une chaise.
zw
2012-05-12 21:16:40 UTC
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Nombre de fonctionnaire? Combien?
Je veux simplement te dire que raisonner sur le nombre d'heures
travaillées est parfaitement stupide. Encore une fois.. que
déduis-tu d'un nombre important ? qu'ils sont idiots ? et que
déduis-tu d'un nombre faible ? qu'ils sont paresseux ?
Cela n'a aucun sens. Parfaitement stupide.
Si moi je suis stupide parce que je m'appuie sur les chiffres de
l'OCDE pour te démontrer que les grecs qui travaillent plus que les
allemands ne sont pas paresseux, comment qualifier l'hurluberlu
lorsqu'il nous explique le contraire sur la seule base qu'en Grèce il
y a des piscines et des aveugles clairvoyants?
Paresseux ? tu parles du monde comme s'il s'agissait d'une Ecole
Maternelle.

Les Allemands travaillent beaucoup moins et sont beaucoup plus riches
car ils ont pris des décisions politiques collectivement qui étaient
bien plus intelligentes que les Grecs.

Si les Grecs se décident à devenir responsables, les européens les
aideront. Mais si les Grecs veulent que des services publics gratuits
et partir en retraite tôt, alors, ils devront trouver la formule
magique tous seuls. Avec tous les gvts de gauche qui se sont succéder,
la Grèce est a deux doigt de passer en troisième division, disons,
rejoindre la Macédoine, la Croatie, la Serbie, le Montenegor et autres
joyaux résiduels d'un collectivisme cher à ton gourou Baudruchon.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
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2012-05-13 06:37:16 UTC
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Nombre de fonctionnaire? Combien?
Je veux simplement te dire que raisonner sur le nombre d'heures
travaillées est parfaitement stupide. Encore une fois.. que
déduis-tu d'un nombre important ? qu'ils sont idiots ? et que
déduis-tu d'un nombre faible ? qu'ils sont paresseux ?
Cela n'a aucun sens. Parfaitement stupide.
Si moi je suis stupide parce que je m'appuie sur les chiffres de
l'OCDE pour te démontrer que les grecs qui travaillent plus que les
allemands ne sont pas paresseux, comment qualifier l'hurluberlu
lorsqu'il nous explique le contraire sur la seule base qu'en Grèce il
y a des piscines et des aveugles clairvoyants?
Paresseux ? tu parles du monde comme s'il s'agissait d'une Ecole
Maternelle.
Les Allemands travaillent beaucoup moins et sont beaucoup plus riches
car ils ont pris des décisions politiques collectivement qui étaient
bien plus intelligentes queles Grecs
Petit rappel de ton opinion de la veille :
"Les fonctionnaires partent en retraite à 52 ans, les aveugles
conduisent des voitures, les pauvres ont des piscines et cetera.
Si les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naïveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail et
toute la panoplie habituelle."

Hier, tu nous expliquais que le problème des grecs était leur manque de
travail en fustigeant les départs à la retraite! Maintenant que tu viens
d'apprendre qu'ils travaillent plus que les allemands, tu nous expliques
qu'il aurait fallu qu'ils travaillent moins et mieux.

Te rends tu compte au moins de ton incompétence?
Post by zw
Si les Grecs se décident à devenir responsables, les européens les
aideront. Mais si les Grecs veulent que des services publics gratuits
et partir en retraite tôt, alors, ils devront trouver la formule
magique tous seuls. Avec tous les gvts de gauche qui se sont succéder,
la Grèce est a deux doigt de passer en troisième division, disons,
rejoindre la Macédoine, la Croatie, la Serbie, le Montenegor et autres
joyaux résiduels d'un collectivisme cher à ton gourou Baudruchon.
zw
2012-05-13 09:46:37 UTC
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Nombre de fonctionnaire? Combien?
Je veux simplement te dire que raisonner sur le nombre d'heures
travaillées est parfaitement stupide. Encore une fois.. que
déduis-tu d'un nombre important ? qu'ils sont idiots ? et que
déduis-tu d'un nombre faible ? qu'ils sont paresseux ?
Cela n'a aucun sens. Parfaitement stupide.
Si moi je suis stupide parce que je m'appuie sur les chiffres de
l'OCDE pour te démontrer que les grecs qui travaillent plus que
les allemands ne sont pas paresseux, comment qualifier
l'hurluberlu lorsqu'il nous explique le contraire sur la seule
base qu'en Grèce il y a des piscines et des aveugles clairvoyants?
Paresseux ? tu parles du monde comme s'il s'agissait d'une Ecole
Maternelle.
Les Allemands travaillent beaucoup moins et sont beaucoup plus
riches car ils ont pris des décisions politiques collectivement qui
étaient bien plus intelligentes queles Grecs
"Les fonctionnaires partent en retraite à 52 ans, les aveugles
conduisent des voitures, les pauvres ont des piscines et cetera. Si
les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naïveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail et
toute la panoplie habituelle."
Hier, tu nous expliquais que le problème des grecs était leur manque
de travail en fustigeant les départs à la retraite! Maintenant que tu
viens d'apprendre qu'ils travaillent plus que les allemands, tu nous
expliques qu'il aurait fallu qu'ils travaillent moins et mieux.
Te rends tu compte au moins de ton incompétence?
Les chiffres de l'OCDE prennent les employés à temps partiel comme les
employés à temps plein. Il y a des raisons historiques à cela. La Grèce
est un pays avec très peu de temps partiel, tu obtiens donc des
chiffres sans grand intérêts dans une comparaison mais qui peuvent
néanmoins donner une indications de la Grèce par rapport à elle même
dans la durée.

Tu n'as as compris mes remarques en fait. Je ne sais pas si c'est par
manque de capacité ou par mauvaise foi. Ce que je te dis, c'est que le
temps de travail annuel moyen est typiquement une donnée débile, sans
intérêt. Inexploitable. Les pays pauvres travaillent toujours beaucoup.
Va en Inde et autres, tu auras des chiffres hallucinants. Les gens sont
pauvres car ces heures "travaillées" sont en réalité de la présence sur
une chaise en bois à remplir des dossiers de paperasses totalement
inutiles.

Les pays riches en revanche travaillent peu car ils utilisent beaucoup
de capital. Ils sont à même d'utiliser beaucoup de capital car ils sont
généralement bien régulés, avec une approche de marché qui arbitre en
permanence les choix.

Si j'allais plus loin, je te dirais qu'une politique de réduction de
temps de travail n'a de sens qu'en période de plein emploi.

POur revenir au concept d'incompétence, il n'y a que les incompétents
pour s'étonner que les Grecs travaillent plus que les Allemands !! ça
s'appelle le capitalisme.

Le capitalisme, c'est cela; c'est le fait de booster l'activité
productive via le crédit. Et qui dit "crédit", dit "risque" et donc
inévitablement, "base de capital".

Tout comme on prévoit la météo à 5 jours, l'intelligence humaine
maitrise des leviers de 10 environ. Avec 100 millions de capital, un
partenaire financier permet de développer 1 milliards d'activité et par
la même, ce partenaire financier (celui qui porte le risque) permet à
tout le monde d'innover, d'améliorer, de produire et cetera.

Jusqu'à présent, seul le marché au sens de l'approche libérale a
démontré une capacité à produire ces arbitrages. Les administratinons
ont tenté (pays socialistes) mais n'ont jamais réussi.

Si les Grecs réformaient leur fonction publique, leur droit du travail,
leur système de pension, leur fiscalité, ils seraient riches, voir même
très riches. De nombreux pays sont riches du seul fait de leur capacité
à s'organiser, à construire un état de droit pas trop débile. La
Suisse, le Japon, l'Allemagne et bien d'autres encore.
Post by unknown
Post by zw
Si les Grecs se décident à devenir responsables, les européens les
aideront. Mais si les Grecs veulent que des services publics
gratuits et partir en retraite tôt, alors, ils devront trouver la
formule magique tous seuls. Avec tous les gvts de gauche qui se
sont succéder, la Grèce est a deux doigt de passer en troisième
division, disons, rejoindre la Macédoine, la Croatie, la Serbie, le
Montenegor et autres joyaux résiduels d'un collectivisme cher à ton
gourou Baudruchon.
--
http://www.signezpourunprotectionnismeeuropeen.fr
unknown
2012-05-13 10:09:02 UTC
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Post by zw
Post by unknown
"Les fonctionnaires partent en retraite à 52 ans, les aveugles
conduisent des voitures, les pauvres ont des piscines et cetera. Si
les Grecs sont des victimes, c'est d'eux-mêmes, de leurs choix
politiques, de la naïveté qu'ils ont eu de croire des leaders
politiques leur promettant plus de fonctionnaire, moins de travail et
toute la panoplie habituelle."
Hier, tu nous expliquais que le problème des grecs était leur manque
de travail en fustigeant les départs à la retraite! Maintenant que tu
viens d'apprendre qu'ils travaillent plus que les allemands, tu nous
expliques qu'il aurait fallu qu'ils travaillent moins et mieux.
Te rends tu compte au moins de ton incompétence?
Les chiffres de l'OCDE prennent les employés à temps partiel comme les
employés à temps plein. Il y a des raisons historiques à cela. La Grèce
est un pays avec très peu de temps partiel, tu obtiens donc des
chiffres sans grand intérêts dans une comparaison mais qui peuvent
néanmoins donner une indications de la Grèce par rapport à elle même
dans la durée.
Tu n'as as compris mes remarques en fait. Je ne sais pas si c'est par
manque de capacité ou par mauvaise foi. Ce que je te dis, c'est que le
temps de travail annuel moyen est typiquement une donnée débile, sans
intérêt. Inexploitable. Les pays pauvres travaillent toujours beaucoup.
Va en Inde et autres, tu auras des chiffres hallucinants. Les gens sont
pauvres car ces heures "travaillées" sont en réalité de la présence sur
une chaise en bois à remplir des dossiers de paperasses totalement
inutiles.
Les pays riches en revanche travaillent peu car ils utilisent beaucoup
de capital. Ils sont à même d'utiliser beaucoup de capital car ils sont
généralement bien régulés, avec une approche de marché qui arbitre en
permanence les choix.
Si j'allais plus loin, je te dirais qu'une politique de réduction de
temps de travail n'a de sens qu'en période de plein emploi.
POur revenir au concept d'incompétence, il n'y a que les incompétents
pour s'étonner que les Grecs travaillent plus que les Allemands !! ça
s'appelle le capitalisme.
Le capitalisme, c'est cela; c'est le fait de booster l'activité
productive via le crédit. Et qui dit "crédit", dit "risque" et donc
inévitablement, "base de capital".
Tout comme on prévoit la météo à 5 jours, l'intelligence humaine
maitrise des leviers de 10 environ. Avec 100 millions de capital, un
partenaire financier permet de développer 1 milliards d'activité et par
la même, ce partenaire financier (celui qui porte le risque) permet à
tout le monde d'innover, d'améliorer, de produire et cetera.
Jusqu'à présent, seul le marché au sens de l'approche libérale a
démontré une capacité à produire ces arbitrages. Les administratinons
ont tenté (pays socialistes) mais n'ont jamais réussi.
Combien de tentatives a t-il fallu pour construire une républicaine
stable tandis que des gens comme toi décourageaient les bonnes âmes en
rappelant la fatalité des erreurs du passé.
Aujourd'hui personne ne prétend plus que la république est une utopie en
raison des guerres de Vendée, accorde à la France le crédit de sa propre
tentative socialiste et nous peut être un jour nous reprendrons cette
conversation.
Post by zw
Si les Grecs réformaient leur fonction publique, leur droit du travail,
leur système de pension, leur fiscalité, ils seraient riches, voir même
très riches. De nombreux pays sont riches du seul fait de leur capacité
à s'organiser, à construire un état de droit pas trop débile. La
Suisse, le Japon, l'Allemagne et bien d'autres encore.
Que des pays qui font rêver. Les Corses à propos du Japon, génial on en
veut. Les Andalous à propos de l'Allemagne : comment n'a t-on pas pu y
penser plus tôt?
UBUjean-jacques viala
2012-05-12 16:37:23 UTC
Permalink
Post by zw
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas tenu et ont
menti collectivement pendand des années à leurs partenaires.
nukons athénes
Post by zw
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent en
retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les pauvres
ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé, les Grecs ont
écouté des leaders de gauche leur faire des promesses pendant tant
d'années. L'heure de l'addition a sonné.
voilà, virons les de l'euro.
qu'ils se demerdent.

non mais.

(on pourait peut-être leur piquer la créte pour solde de tout compte?)
--
UBU

Ascenseur social: elle est née dans le ruisseau, elle a fini sur le
trottoir.
Allais
pgreenfinch
2012-05-14 11:57:16 UTC
Permalink
Post by UBUjean-jacques viala
Post by zw
Les Grecs ont fait de nombreuses promesses qu'ils n'ont pas tenu et ont
menti collectivement pendand des années à leurs partenaires.
nukons athénes
Post by zw
Les morts perçoivent des retraites, les fonctionnaires partent en
retraite à 52 ans, les aveugles conduisent des voitures, les pauvres
ont des piscines et cetera. Personne ne les a forcé, les Grecs ont
écouté des leaders de gauche leur faire des promesses pendant tant
d'années. L'heure de l'addition a sonné.
voilà, virons les de l'euro.
qu'ils se demerdent.
non mais.
(on pourait peut-être leur piquer la créte pour solde de tout compte?)
Ah ces nationalistes cocardiers, non seulement font le coq, mais
veulent une crête en plus !

roaringriri
2012-05-11 11:40:43 UTC
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Post by Sylvain
Post by roaringriri
Voir un peuple se faire écrabouiller en direct, par vos maîtres, c'est
en effet tordant.
Ils se sont fait écrabouillé parce qu'ils ont faits n'importe quoi.
Cela devrait servir de leçon aux Français qui veulent du social et des
fonctionnaires
Post by roaringriri
Ca sera même, encore plus marrant quand, comme je l'espère, ils
imprimeront leurs propres Euros, et que votre château de cartes
s'effondrera.
Ils n'ont pas le droit, et s'ils le font leur monaie sera considérée
comme de la fausse monaie et les conséquences seront encore pire pour eux
Le "Droit", c'est ce qui protège les maîtres des esclaves, dans ton genre.
Rien que pour ça, ça mérite d'être éparpillé au vent.
|PéA, Philosophie de l'économie Altéférienne|
2012-05-11 09:53:27 UTC
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Post by zw
La gauche grecque veut l'euro mais pas l'austérité.
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
la face de la pièce de 2 EUR est magnifique et l'on comprend mieux que
les Grecs veuillent conserver l'EURo !

j'ajoute qu'il est toujours possible pour les Grecs de sortir de l'UEM,
de sortir de L'UE, de l'Otan, etc. et de conserver l'EURo comme monnaie
nationale et internationale.

et pourquoi pas, dès demain,
les Turques, les Libanais, les Palestiniens pourraient faire le choix de
l'EURo et sa vocation de monnaie universelle.

wimps, de la PéA.
vont finir par être futés les Grecs !
Augustin
2012-05-11 09:56:21 UTC
Permalink
Post by zw
La gauche grecque veut l'euro mais pas l'austérité. Dixit les leaders
de gauche !!! ha ha ha ha.
On croirait des enfants.
La gauche grecque propose des fonctionnaires, des lois qui
déresponsabilisent et des dépenses publiques.
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
... Pour certains même pas besoin de reconversion ... :-)


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Chris de Foy
2012-05-13 01:23:16 UTC
Permalink
Post by zw
La gauche grecque veut l'euro mais pas l'austérité. Dixit les leaders
de gauche !!! ha ha ha ha.
On croirait des enfants.
La gauche grecque propose des fonctionnaires, des lois qui
déresponsabilisent et des dépenses publiques.
Et ils veulent absolument conserver l'euro.
Devraient se reconvertir en comiques je pense, ils feraient recette.
Ils veulent pas égorger leurs armateurs et autres rentiers exilés fiscaux ?

Ils n'ont pas compris quel est leur ennemi mortel.
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cdf
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